Dans Marianne hebdo du 19 mai : "EADS ou les mensonges entre (faux) amis" Par Hervé Nathan
Résumé: Thierry Breton disait n'être pour rien dans le parachute doré 8,4 millions d'Euros attribué à Forgeard lors de sa démission d'EADS.."je n'ai parlé de la question de la question d'une quelconque indemnité de Noël Forgeard avec aucun administrateur." Clamait-il avant d'ajouter: "je mets au défi quiconque de prétendre le contraire"…
Le gant a été relevé par l'allemand Thomas ENDERS, codirecteur général d'EADS.
Dans un interview au Frankfurter Allgemeine Zeitung (FAZ) il révèle que le gouvernement Français a "tordu les bras" des administrateurs d'EADS pour obtenir des conditions de départ satisfaisantes (ndlr: SIC!) pour Forgeard. Et Thomas Enders d'expliquer que les responsables allemands d'EADS ont fait inscrire leurs réserves sur le procès verbal du Conseil d'administration.
Donc:
- Breton aurait menti effrontément. Ainsi que le groupe Lagardère et Maurice Levy, PDG de Publicis qui a servi de médiateur entre Forgeard et EADS