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17 mai 2009

Le monde du cinéma de guingois sur Hadopi

Créé le 16.05.09
Extrait:

 

Jeanne Balibar, lors du 61e festival de Cannes, le 22 mais 2008.

Jeanne Balibar, lors du 61e festival de Cannes, le 22 mais 2008./REUTERS/Vincent Kessler

 A lire aussi    : Le cinéma après Hadopi, ça donne quoi?

                          

CANNES - Sur la Croisette, les réalisateurs n'ont pas tout à fait le même avis...

Le monde du cinéma serait-il divisé sur la loi Hadopi? A Cannes, en tout cas, les avis sont partagés. Samedi, lors d’un débat sur le financement du cinéma après le vote de la loi anti-piratage, les participants ont plaidé pour une régulation de

la Toileau service du bon financement des films français, qui ont besoin de la télé, et notamment de Canal+, pour émerger.

A l’autre bout de la Croisette, Jeanne Balibar, qui joue sous la direction de Pedro Costa dans «Ne change rien», sélectionné à

la Quinzaine des réalisateurs, n’est pas d’accord sur les bienfaits du texte de loi. «C’est une loi pour rien, elle est dépassée avant même de pouvoir être mise en application, c’est un coup d’épée dans l’eau, explique-t-elle à 20minutes.fr. Son souhait? «Que les gens soient sur le Net comme dans une médiathèque.»   (...)

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W
1- D’un côté, nous avons une industrie culturelle déclinante n’assumant pas le proxénétisme économique et la pandémie infantilisante qu’elle exerce sous le regard de son débiteur. Celui-ci est à la fois une fondation philanthrope de gestion nationale et une entreprise d’import/export.<br /> 2- De l’autre côté, nous avons une infinité de niches de population n’ayant rien à voir les unes avec les autres, mais faisant front par principe de précaution. Nous prouvant par la même occasion à quel niveau de léthargie se trouvent nos sociétés occidentales pour qu’un luxe devienne une lutte nécessaire.<br /> 3- Au centre, se trouve le gros du troupeau qui n’a pas d’avis et fait preuve d’intelligence situationniste ou d’indifférence banale sur ce combat qui est à la fois d’avant-garde et d’arrière-cour.<br /> 4- Dans toutes les batailles, il y a des pertes acceptables. Mais comme nous ne prenons plus plaisir à nous salir les mains avec une de ces barbaries ancestrales, les invectives servent de nos jours de courroux médiatique ou de Hit Combo virtuel pour le bonheur des voyeurs générationnels et des lâches éternels.<br /> 5- Quand on pratique l’affrontement constant ou la paix commémorative pour occuper son temps, c’est que l’on est plus en mouvement. Alors la guerre civile des flux a-t-elle un sens ?<br /> La suite ici :<br /> http://souklaye.wordpress.com/2009/03/13/creation-internet-et-insultes-gratuites/<br />
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