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20 juillet 2009

Les critiques au vitriol continuent de pleuvoir au PS

                                            France Info - 07:11

La gestion du parti socialiste est de plus en plus contestée. Tandis que Julien Dray fustige l’amateurisme de Martine Aubry, Bernard-Henri Lévy, qui fut proche de Ségolène Royal pendant la campagne présidentielle de 2007, affirme pour sa part que "le PS est mort". Et ce matin, sur France-Info, c’est le député socialiste Arnaud Montebourg qui en rajoute...

 

Après le coup de chaud de cette semaine entre Martine Aubry et Manuel Valls, c’est le député socialiste de l’Essone Julien Dray qui dénonce sur son blog "l’amateurisme et l’impuissance" de la première secrétaire du Parti Socialiste "et surtout une étonnante incapacité à entendre ce qui se passe et dans son parti, et dans la société".

Les précisions de Yannick Falt. (1'01")
 

Bernard Henri Lévy a  de son côté tout simplement estimé ce week-end que le parti socialiste était mort. C’est  " un parti politique qui n’inspire plus que la colère et l’exaspération ", a déclaré le philosophe dans le JDD, tout en souhaitant que naisse un nouveau courant d’idées (voir chronique associée).

Pour Gerard Grunberg, politologue et directeur de recherche à Sciences-po, cette dernière option est totalement hors de propos. (0'49")

Cette nouvelle salve contre le Parti socialiste français et sa patronne a amené hier Claude Guéant à prendre sa défense. " J’espère très franchement que le PS redeviendra une force organisée avec laquelle nous pourrons débattre devant les Français", a déclaré sur Europe 1 le secrétaire général de l’Elysée, proche collaborateur du président Nicolas Sarkozy.

Mais ce matin sur France-Info, c’est une nouvelle attaque que lance le député socialiste Arnaud Montebourg. Invité de la chronique Tout sauf évident de Philippe Vandel, il a notamment estimé que le parti devait "changer de nature" et donc de nom .

Ecoutez un extrait de l’interview d’Arnaud Montebourg, avec Philippe Vandel. (0'27")
 

Quant à Martine Aubry... elle a pour l’instant choisi de garder le silence. Et a reçu ce matin le soutien de Bertrand Delanoë : le maire de Paris affirme qu’"il y a besoin de cohésion, il y a besoin d’autorité, il y a besoin d’ordre. Martine Aubry a raison de le dire".

Marylise Lebranchu, députée PS, proche de Martine Aubry interrogée par Delphine Sureau  (6'21")
 

Cécile Mimaut, avec agences  


Source: FRANCE INFO

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Commentaires
M
Ce n’est pas la première fois que la première secrétaire du Parti socialiste est prise pour cible par son entourage. En fait, cela n’arrête pas depuis son élection à la tête des affaires solferiniennes. En succédant à François Hollande, après le congrès de Reims en novembre 2008, la maire de Lille savait qu’elle aurait à gérer les nombreuses dissensions qui règnent au sein du PS.
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V
on s'auto-suicide nous-memes<br /> vieuxberni
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