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10 mai 2011

Ségolène Royal et le rythme des disgrâces

 

En politique, les disgrâces ne sont jamais définitives. S'il y a une leçon du "mitterrandisme", c'est bien celle-là. C'est sur ce constat que Ségolène Royal mise aussi pour son rebond montrant que la tenacité est la qualité du tempérament des Chefs d'Etat.

L'automne 1980, Michel Rocard planait dans les sondages.

En 1886, la gauche était battue sévèrement par la droite qui alors affichait succès sur succès depuis ... mars 1983.

Et pourtant, en mai 1981 comme en mai 1988, François Mitterrand a gagné.

S'il y a un trait de tempérament incontestable et incontesté c'est sa conviction que les disgrâces même les plus rudes ne sont jamais ... définitives.

C'est le trait de tempérament que Ségolène Royal souhaite se voir reconnu face au dilettantisme de DSK ou à la tiédeur de François Hollande.

Finalement, la "vraie gauche", ce serait elle, celle qui affronte toutes les tempêtes et qui se redresse toujours.

Sous cet angle, l'actuelle semaine est importante car, avec les images sur toutes les chaînes de TV, l'opinion va retrouver un profil provincial qui s'éloigne de beaucoup des profils de Sarkozy comme de DSK.


Présidentielle : 1er meeting pour Ségolène Royal par BFMTV

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