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14 février 2013

Wikileaks devient un parti et Julian Assange son leader

 

Sur 01.net
Vivant toujours reclus dans l’ambassade de l’Equateur à Londres, Julian Assange veut se présenter aux prochaines élections parlementaires en Australie.
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Le 14 septembre prochain, lorsque seront organisées les prochaines élections parlementaires, les Australiens pourront peut-être voter pour un nouveau parti: Wikileaks. Et la figure de proue de cette nouvelle formation politique n’est autre que Julian Assange, qui se présente personnellement à cette élection, comme le confirme un tweet.
Mais comment est-ce possible, me direz-vous, alors que ce célèbre hacktiviste vit toujours reclus dans l’ambassade équatoriale à Londres et qu’il ne peut toujours pas mettre le nez dehors de peur d’être extradé en Suède? Selon le quotidien australien The Age, le parti Wikileaks, qui défende la transparence et l’ouverture, a été créé par le père de Julian Assange, John Shipton, durant ces dernières semaines. C’est également lui qui a inscrit, il y a quelques jours, Julian Assange sur les listes électorales, condition nécessaire pour pouvoir se présenter. En effet, Julian Assange a le droit de vote en tant que citoyen expatrié (“overseas voter”), et par conséquent le droit d’être candidat.
Des obstacles juridiques
Mais il reste encore quelques obstacles à surmonter. La participation du parti Wikileaks aux prochaines élections n’a pas encore été validée par la commission électorale. Pour cela, il faut prouver que le parti compte au minimum 500 membres qui détiennent le droit de vote. Ce qui ne devrait pas être très compliqué, étant donné la popularité de Wikileaks (1,7 millions de followers sur Twitter, 2,1 millions de J’aime sur Facebook). Des récents sondages politiques montrent par ailleurs que Julian Assange aurait de sérieuses chances d’être élu.
Le problème, c’est après. Car il est probable qu’en septembre, Julian Assange ne pourra toujours pas bouger depuis son ambassade. Et il n’est pas certain qu’il pourra déléguer son mandat - comme il souhaiterait le faire - auprès d’un autre candidat du parti. Sur cette question, les avis juridiques divergent.

Source:

L’article de The Age

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