19 avril 2013
A quoi joue le Qatar ?
D'un côté, le petit émirat investit massivement dans le luxe, le sport, les terres arables, les palaces et l'immobilier. De l'autre, il soutient les islamistes dans les pays du "printemps arabe".
17 avril 2013
L'émir du Qatar Sheikh Hamad bin Khalifa al-Thani à son arrivée à l'aéroport de Ryiad, en Arabie Saoudite, pour l'ouverture du troisième sommet économique et social arabe, le 21 janvier 2013 - AFP
De Londres à Paris, en passant pas les îles grecques, de l'Afrique du Sud à l'Amérique latine, le Qatar est partout. De gros investissements dans la finance, le sport, les produits de luxe et l'art. En parallèle, l'émirat finance aussi les islamistes au Maghreb, les djihadistes en Syrie, sans oublier les Frères musulmans égyptiens.
Cette contradiction n'est qu'apparente. Derrière le soutien aux régimes islamistes des pays du "printemps arabe" se profilent des contrats de reconstruction pharaoniques. L'émirat veut surtout gagner de l'argent. Or, jouer dans la cour des grands lui attire parfois la haine de la rue arabe et l'inquiétude des Européens.
Le minuscule Qatar va-t-il pouvoir garder longtemps son influence ou s'effondrera-t-il tel un château de cartes ?
CARTOGRAPHIE
Investissements du Qatar dans le monde
Cette contradiction n'est qu'apparente. Derrière le soutien aux régimes islamistes des pays du "printemps arabe" se profilent des contrats de reconstruction pharaoniques. L'émirat veut surtout gagner de l'argent. Or, jouer dans la cour des grands lui attire parfois la haine de la rue arabe et l'inquiétude des Européens.
Le minuscule Qatar va-t-il pouvoir garder longtemps son influence ou s'effondrera-t-il tel un château de cartes ?
CARTOGRAPHIE
Investissements du Qatar dans le monde
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