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28 mai 2013

Budapest peste

 

 

Un beau jour, je ne sais plus quel directeur de la CIA est devenu fou. Prisonnier de la Guerre Froide, obsédé par les « Russes », il s’est mis à courir dans les couloirs en hurlant : « Ils sont là ». Alors que d’autres à la même époque hallucinaient des débarquements de hordes de martiens hostiles, lui voyait « les Russes » déferlant sur les Etats- Unis.

Ils sont toujours là, les mêmes fous de la même époque qui ont fait ce choix terrible, effacés à coup de dollars (139 OOO$) de nos livres d’histoire, les éminences noires, les Kissinger, les Brzezinski, par horreur du communisme, ils ont choisis de soutenir le nazisme. Pendant des décennies, alors que la majorité croyaient la peste brune, la bête morte, éradiquée, ils ont favorisé son essaimage, encourager sa croissance,

A coup de propagande, à force d’inculture, ils ont grignoté la conscience des peuples, petit à petit sans faire de bruit, ils les ont abêtis, abrutis, bourrés de stupéfiants, ils ont préparé le monde a accepté sans broncher le retour de la bête, en pleine forme, décomplexée, elle arpente nos rues en portant avec orgueil ses couleurs d’ignominie, elle sommeille dans le cœur des braves gens, qui ne sont plus si braves, et petit à petit se sont remplis de haine… pas contre leurs exploiteurs, pas contre les assassins, les marchands d’armes, les semeurs de morts, les bourreaux de planète qui leur  confisquent  jusqu’à leur âme, leur conscience, leur sensibilité.

Aujourd’hui l’ennemi public n°1, c’est le misérable chargé, en bon bouc émissaire de tus les pêchés du monde, petit à petit s’approche l'heure du sacrifice… les préliminaires ont commencés, ici c’est un vagabond le crâne éclaté à coup de barre de fer, à Athènes, Bogota, Sao Polo, là c’est la femme rrom, enceinte, éventrée devant ses enfants (Slovaquie) et j’en passe, cela fait mal…duele mais la liste est plus longue qu’on ne le croit et pour cause les médias sont payés pour se taire et raconter des balivernes en formes de feuilletons qui font diversion. Les hordes fascistes encouragées par Capriles ont fait 10 morts au Venezuela, le mois dernier, elles ont mis le feu à des maisons dans lesquelles dormaient paisiblement des petites familles nouvellement relogées, par l’état…avec notre argent disent les oligarques du pays ! A mort les misérables. A Charleroi en Belgique des fascistes mettent le feu à des maisons squattées l’hiver par des SDF, la liste est longue et cela fait mal. Hier ils ont arrêté Bertha Caceres au Honduras, avant-hier ils ont brûlé la sœur dun curé pacifiste en Colombie… la liste est longue, et cela fait mal. Ils sont si nombreux qui ne peut parler de tous, alors on a mal pour ceux qui meurent enseveli sous un linceul de silence, et dont le corps atterri dans un tombeau d’indifférence, fosse commune, charnier occultes pour y être oublié à jamais.

Je ne suis pas directeur de la CIA, je ne suis pas folle et encore moins obsédée, mais je ne détournerai pas non plus le regard. J’ai rouvert le livre de notre histoire confisqué par Rockefeller qui ne voulait pas que le peuple européen sache que ces braves « américains » venus nous libérer, ces innombrables GI’s  dont les croix s’alignent interminablement sur les plaines de Normandie, étaient comme l’Europe, sacrifiés sur l’autel du profit avec les armes payées par Messieurs Ford, Rothschild et tant d’autres de ces oligarques qui ne gouvernent par le monde, mais plutôt le tyrannisent.

J’ai rouvert le livre de l’histoire et j’ai découvert les traces de la réalité. La bête n’a pas été détruite, juste blessée… on ne fait pas d’omelette sans casser quelques œufs. Les filières d’’évasion étaient au point pour les uns, les nouvelles identités, les couvertures prêtes pour les autres. Recasés à des postes clés, métastases, la bête a proliféré grâce à la protection, la bienveillance des mêmes qui ne se sont pas privé d’utiliser leurs talents de bourreaux pour faire monter de l’Amérique Latine la clameur insoutenable des forces vives assassinées. Dans la pesanteur assourdissante de l’indifférence de l’Occident.

Cherchez, suivez les fils, ils sont là tous peuvent savoir, il suffit de vouloir. Et les indices sont là, devant nous exposés par les discours qui se tiennent au bistrot du coin, par exemple.

Réveillez-vous bonne gens, le fascisme est la promesse de notre avenir… à moins que…

Je n’ai plus trop confiance en la conscience de l’Occident….

 

Budapest peste

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