La Maison Blanche a estimé jeudi qu’une ligne rouge avait été franchie en Syrie et accusé le président Bachar al-Assad d’avoir utilisé des armes chimiques, dont du gaz sarin, annonçant un soutien militaire, sans autres précisions, aux rebelles syriens. Les États-Unis, travaillant de concert avec leurs alliés de l’Union européenne, se sont abstenus de détailler la forme que prendrait cette assistance militaire. Ils n’ont pas, à ce stade, annoncé de décision d’armer les rebelles face au régime de Bachar al-Assad, évoquant simplement une augmentation de son aide non létale et assurant qu’elle prendrait « des décisions à son propre rythme ».
Moscou s’oppose
Les accusations des Etats-Unis sur le recours à l’arme chimique par le régime de Bachar al-Assad en Syrie ne sont « pas convaincantes », a déclaré vendredi le conseiller diplomatique du Kremlin Iouri Ouchakov. Quant au soutien militaire aux rebelles annoncé par, le conseiller diplomatique a estimé que cette décision compliquerait les efforts de paix.
« Bien sûr, si les Américains décident vraiment et réellement de fournir une aide plus importante aux rebelles, une aide à l’opposition, cela compliquera la préparation d’une conférence internationale » pour trouver une solution politique au conflit, a-t-il dit.
Mon commentaire: La "voix du nord" se paierait la tête de la population??? et l'enquête de ce membre de l'ONU CARLA DEL PONTE!!!