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29 mars 2014

La Russie refuse de reconnaître le résultat des municipales et menace d’envahir BORDEAUX (33)

Sur SUD ou EST

La Russie refuse de reconnaître le résultat des municipales et menace d’envahir BORDEAUX (33) 

Le président POUTINE n’y va pas par quatre chemins : « puisque le camarade Alain a déclaré dans la presse que le référendum en Crimée, avec 98% de oui, n’avait aucune valeur, j’affirme à mon tour que ses 60% au premier tour à BORDEAUX ne pèsent pas lourd ! ».

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Si le fait que la métropole girondine polarise l’attention du Kremlin peut surprendre, ce n’est en fait que le résultat d’une longue amitié, désormais déçue, entre les édiles de chaque bord.

Herbert BOVIN, spécialiste de l’histoire de Bordeaux, revient sur ces liens privilégiés. « Il convient de rappeler tout d’abord que Bordeaux est jumelée avec Saint-Pétersbourg, d’où est originaire Vladimir POUTINE. Par ailleurs, Alain JUPPE s’est rendu plusieurs fois en Russie en tant que ministre des affaires étrangères, familiarisé avec le grand froid à la suite de son exil québécois ! Certes le contact était meilleur avec Nicolas SARKOZY, et l’on se souvient de l’apéritif un peu corsé pendant le G8 qui avait mis le président français en difficulté pour la conférence de presse qui suivait. Cependant, dans la lignée du couple CHIRAC-ELSTINE, Alain et Vladimir se tenaient en haute estime ».

La menace qui flotte désormais sur BORDEAUX est à la hauteur de la déception du maître de la Place rouge. L’armée russe, aurait en effet prévu, en représailles, d’investir la cité de Montesquieu par un débarquement sur les quais de Garonne. Selon un document confidentiel que l’un de nos correspondants a soutiré à un dignitaire du régime en échange d’une caisse d’un grand cru de Saint-Emilion, l’état-major russe compterait sur la faible capacité d’auto-défense de la ville de Bordeaux. La note interceptée souligne en effet que « la ville compte une base sous-marine dont aucun citoyen n’est en mesure de dire à quoi elle sert, ce qui laisse à penser qu’aucune résistance ne sera opposée de ce côté-là sachant de plus que le Colbert, navire amiral qui a longtemps assuré la sécurité des quais, est désormais en cours de démantèlement dans une usine indienne ! Et ce ne sont pas les quelques Mirage de la base aérienne de Mérignac qui vont poser problème ».

Inquiète de devoir passer sous bannière étrangère, la rédaction de Sud-ou-Est? espère que le formidable orgueil de nos compatriotes, que les experts russes n’ont semble-t-il pas su apprécier à sa juste valeur, permettra de dissuader le président POUTINE d’opter pour la voie des armes.

 

De notre envoyé spécial, André SALLAFRANQUE

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