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11 juillet 2014

GAZA - Question de Jean-Jacques Candelier à Laurent Fabius

 Sur l'HUMANITE

 Gaza. Question de Jean-Jacques Candelier à Laurent Fabius

Jean-Jacques Candelier, député du Nord

Jeudi, 10 Juillet, 2014

Jean-Jacques Candelier interroge M. le Ministre des Affaires étrangères sur un communiqué publié le 09 juillet 2014 sur le site de l’Elysée suite à un entretien avec le Premier ministre israélien.

Dans celui-ci, François Hollande s’aligne totalement sur la politique colonialiste, agressive et criminelle du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. En exprimant « la solidarité de la France » avec Israël sous le prétexte de tirs de roquettes en provenance de Gaza sans prononcer le moindre mot sur les bombardements, les assassinats, les rafles et les ratonnades à Gaza et en Cisjordanie occupée, le président de la République entend impliquer notre pays dans une opération criminelle contre un peuple en lutte pour sa survie, le peuple palestinien. Il y a pire. En déclarant qu’il appartient « au gouvernement israélien de prendre toutes les mesures pour protéger sa population face aux menaces », le Président de la République incite à la guerre. L’Elysée ne s’en tient plus aux formules diplomatiques qualifiant les actions israéliennes de « disproportionnées », l’Elysée joue ouvertement la carte de l’affrontement, des destructions, des meurtres et des emprisonnements de masse.

Les autorités françaises acceptent que des citoyens français intègrent une armée étrangère d'occupation (l’armée israélienne), violant ainsi les lois internationales. Elles acceptent un mur de près de 700 kilomètres, une construction condamnée par les instances internationales. Elles acceptent l’apartheid instauré en Cisjordanie occupée. Elles acceptent et incitent à la guerre alors que tous les efforts devraient viser l’arrêt des violences et la construction de la paix sur la base du droit international.

Les justifications des autorités israéliennes qui présentent leurs actions comme des représailles sont irrecevables. D’abord parce qu’elles frappent des civils qui sont maintenus sous un blocus inhumain depuis plus de six ans et, qu’à ce titre, elles constituent des crimes de guerre. Enfin parce qu’aucune autorité en place à Gaza ne sera jamais en mesure d’empêcher des actions violentes contre le siège de Gaza qui prend en otage une population de plus de 1,6 million d’habitants, la coupant délibérément de ses liens avec la Cisjordanie. Cinq ans après l’opé­ration mili­taire israé­lienne (dite "plomb durci") contre la population de Gaza, plus d’un an après les nouveaux bom­bar­de­ments massifs de novembre 2012 suivis d’un cessez-​le-​feu, rien n’est réglé et Israël continue à bombarder en toute impunité la population et les infrastructures de Gaza, et à lui imposer un blocus qui ruine son économie et plonge la population dans la misère.

Il lui demande s’il compte condamner sans ambigüité les bombardements israéliens, prendre les initiatives politiques et diplomatiques nécessaires afin que les secours médicaux puisent parvenir à Gaza, prendre immédiatement les sanctions prévues à l’article 2 de l’accord de coopération Union européenne-Israël de 2002 contre l’Etat israélien et agir au niveau international, dans le cadre de l’année internationale de la Palestine décidée par l’Assemblée générale de l’ONU, afin de contraindre cet Etat à mettre fin au blocus aussi inhumain qu’illégal de Gaza et à la colonisation.

- See more at: http://www.humanite.fr/gaza-question-de-jean-jacques-candelier-laurent-fabius-547167#sthash.QZfj17G3.AXDnqxFm.dpuf

Gaza. Question de Jean-Jacques Candelier à Laurent Fabius
Jean-Jacques Candelier, député du Nord
Jeudi, 10 Juillet, 2014
Jean-Jacques Candelier interroge M. le Ministre des Affaires étrangères sur un communiqué publié le 09 juillet 2014 sur le site de l’Elysée suite à un entretien avec le Premier ministre israélien.

Dans celui-ci, François Hollande s’aligne totalement sur la politique colonialiste, agressive et criminelle du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. En exprimant « la solidarité de la France » avec Israël sous le prétexte de tirs de roquettes en provenance de Gaza sans prononcer le moindre mot sur les bombardements, les assassinats, les rafles et les ratonnades à Gaza et en Cisjordanie occupée, le président de la République entend impliquer notre pays dans une opération criminelle contre un peuple en lutte pour sa survie, le peuple palestinien. Il y a pire. En déclarant qu’il appartient « au gouvernement israélien de prendre toutes les mesures pour protéger sa population face aux menaces », le Président de la République incite à la guerre. L’Elysée ne s’en tient plus aux formules diplomatiques qualifiant les actions israéliennes de « disproportionnées », l’Elysée joue ouvertement la carte de l’affrontement, des destructions, des meurtres et des emprisonnements de masse.

Les autorités françaises acceptent que des citoyens français intègrent une armée étrangère d'occupation (l’armée israélienne), violant ainsi les lois internationales. Elles acceptent un mur de près de 700 kilomètres, une construction condamnée par les instances internationales. Elles acceptent l’apartheid instauré en Cisjordanie occupée. Elles acceptent et incitent à la guerre alors que tous les efforts devraient viser l’arrêt des violences et la construction de la paix sur la base du droit international.

Les justifications des autorités israéliennes qui présentent leurs actions comme des représailles sont irrecevables. D’abord parce qu’elles frappent des civils qui sont maintenus sous un blocus inhumain depuis plus de six ans et, qu’à ce titre, elles constituent des crimes de guerre. Enfin parce qu’aucune autorité en place à Gaza ne sera jamais en mesure d’empêcher des actions violentes contre le siège de Gaza qui prend en otage une population de plus de 1,6 million d’habitants, la coupant délibérément de ses liens avec la Cisjordanie. Cinq ans après l’opé­ration mili­taire israé­lienne (dite "plomb durci") contre la population de Gaza, plus d’un an après les nouveaux bom­bar­de­ments massifs de novembre 2012 suivis d’un cessez-​le-​feu, rien n’est réglé et Israël continue à bombarder en toute impunité la population et les infrastructures de Gaza, et à lui imposer un blocus qui ruine son économie et plonge la population dans la misère.

Il lui demande s’il compte condamner sans ambigüité les bombardements israéliens, prendre les initiatives politiques et diplomatiques nécessaires afin que les secours médicaux puisent parvenir à Gaza, prendre immédiatement les sanctions prévues à l’article 2 de l’accord de coopération Union européenne-Israël de 2002 contre l’Etat israélien et agir au niveau international, dans le cadre de l’année internationale de la Palestine décidée par l’Assemblée générale de l’ONU, afin de contraindre cet Etat à mettre fin au blocus aussi inhumain qu’illégal de Gaza et à la colonisation.

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Jean-Jacques Candelier, député du Nord
Jeudi, 10 Juillet, 2014
Jean-Jacques Candelier interroge M. le Ministre des Affaires étrangères sur un communiqué publié le 09 juillet 2014 sur le site de l’Elysée suite à un entretien avec le Premier ministre israélien.

Dans celui-ci, François Hollande s’aligne totalement sur la politique colonialiste, agressive et criminelle du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. En exprimant « la solidarité de la France » avec Israël sous le prétexte de tirs de roquettes en provenance de Gaza sans prononcer le moindre mot sur les bombardements, les assassinats, les rafles et les ratonnades à Gaza et en Cisjordanie occupée, le président de la République entend impliquer notre pays dans une opération criminelle contre un peuple en lutte pour sa survie, le peuple palestinien. Il y a pire. En déclarant qu’il appartient « au gouvernement israélien de prendre toutes les mesures pour protéger sa population face aux menaces », le Président de la République incite à la guerre. L’Elysée ne s’en tient plus aux formules diplomatiques qualifiant les actions israéliennes de « disproportionnées », l’Elysée joue ouvertement la carte de l’affrontement, des destructions, des meurtres et des emprisonnements de masse.

Les autorités françaises acceptent que des citoyens français intègrent une armée étrangère d'occupation (l’armée israélienne), violant ainsi les lois internationales. Elles acceptent un mur de près de 700 kilomètres, une construction condamnée par les instances internationales. Elles acceptent l’apartheid instauré en Cisjordanie occupée. Elles acceptent et incitent à la guerre alors que tous les efforts devraient viser l’arrêt des violences et la construction de la paix sur la base du droit international.

Les justifications des autorités israéliennes qui présentent leurs actions comme des représailles sont irrecevables. D’abord parce qu’elles frappent des civils qui sont maintenus sous un blocus inhumain depuis plus de six ans et, qu’à ce titre, elles constituent des crimes de guerre. Enfin parce qu’aucune autorité en place à Gaza ne sera jamais en mesure d’empêcher des actions violentes contre le siège de Gaza qui prend en otage une population de plus de 1,6 million d’habitants, la coupant délibérément de ses liens avec la Cisjordanie. Cinq ans après l’opé­ration mili­taire israé­lienne (dite "plomb durci") contre la population de Gaza, plus d’un an après les nouveaux bom­bar­de­ments massifs de novembre 2012 suivis d’un cessez-​le-​feu, rien n’est réglé et Israël continue à bombarder en toute impunité la population et les infrastructures de Gaza, et à lui imposer un blocus qui ruine son économie et plonge la population dans la misère.

Il lui demande s’il compte condamner sans ambigüité les bombardements israéliens, prendre les initiatives politiques et diplomatiques nécessaires afin que les secours médicaux puisent parvenir à Gaza, prendre immédiatement les sanctions prévues à l’article 2 de l’accord de coopération Union européenne-Israël de 2002 contre l’Etat israélien et agir au niveau international, dans le cadre de l’année internationale de la Palestine décidée par l’Assemblée générale de l’ONU, afin de contraindre cet Etat à mettre fin au blocus aussi inhumain qu’illégal de Gaza et à la colonisation.

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Dans celui-ci, François Hollande s’aligne totalement sur la politique colonialiste, agressive et criminelle du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. En exprimant « la solidarité de la France » avec Israël sous le prétexte de tirs de roquettes en provenance de Gaza sans prononcer le moindre mot sur les bombardements, les assassinats, les rafles et les ratonnades à Gaza et en Cisjordanie occupée, le président de la République entend impliquer notre pays dans une opération criminelle contre un peuple en lutte pour sa survie, le peuple palestinien. Il y a pire. En déclarant qu’il appartient « au gouvernement israélien de prendre toutes les mesures pour protéger sa population face aux menaces », le Président de la République incite à la guerre. L’Elysée ne s’en tient plus aux formules diplomatiques qualifiant les actions israéliennes de « disproportionnées », l’Elysée joue ouvertement la carte de l’affrontement, des destructions, des meurtres et des emprisonnements de masse.

Les autorités françaises acceptent que des citoyens français intègrent une armée étrangère d'occupation (l’armée israélienne), violant ainsi les lois internationales. Elles acceptent un mur de près de 700 kilomètres, une construction condamnée par les instances internationales. Elles acceptent l’apartheid instauré en Cisjordanie occupée. Elles acceptent et incitent à la guerre alors que tous les efforts devraient viser l’arrêt des violences et la construction de la paix sur la base du droit international.

Les justifications des autorités israéliennes qui présentent leurs actions comme des représailles sont irrecevables. D’abord parce qu’elles frappent des civils qui sont maintenus sous un blocus inhumain depuis plus de six ans et, qu’à ce titre, elles constituent des crimes de guerre. Enfin parce qu’aucune autorité en place à Gaza ne sera jamais en mesure d’empêcher des actions violentes contre le siège de Gaza qui prend en otage une population de plus de 1,6 million d’habitants, la coupant délibérément de ses liens avec la Cisjordanie. Cinq ans après l’opé­ration mili­taire israé­lienne (dite "plomb durci") contre la population de Gaza, plus d’un an après les nouveaux bom­bar­de­ments massifs de novembre 2012 suivis d’un cessez-​le-​feu, rien n’est réglé et Israël continue à bombarder en toute impunité la population et les infrastructures de Gaza, et à lui imposer un blocus qui ruine son économie et plonge la population dans la misère.

Il lui demande s’il compte condamner sans ambigüité les bombardements israéliens, prendre les initiatives politiques et diplomatiques nécessaires afin que les secours médicaux puisent parvenir à Gaza, prendre immédiatement les sanctions prévues à l’article 2 de l’accord de coopération Union européenne-Israël de 2002 contre l’Etat israélien et agir au niveau international, dans le cadre de l’année internationale de la Palestine décidée par l’Assemblée générale de l’ONU, afin de contraindre cet Etat à mettre fin au blocus aussi inhumain qu’illégal de Gaza et à la colonisation.

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Dans celui-ci, François Hollande s’aligne totalement sur la politique colonialiste, agressive et criminelle du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. En exprimant « la solidarité de la France » avec Israël sous le prétexte de tirs de roquettes en provenance de Gaza sans prononcer le moindre mot sur les bombardements, les assassinats, les rafles et les ratonnades à Gaza et en Cisjordanie occupée, le président de la République entend impliquer notre pays dans une opération criminelle contre un peuple en lutte pour sa survie, le peuple palestinien. Il y a pire. En déclarant qu’il appartient « au gouvernement israélien de prendre toutes les mesures pour protéger sa population face aux menaces », le Président de la République incite à la guerre. L’Elysée ne s’en tient plus aux formules diplomatiques qualifiant les actions israéliennes de « disproportionnées », l’Elysée joue ouvertement la carte de l’affrontement, des destructions, des meurtres et des emprisonnements de masse.

Les autorités françaises acceptent que des citoyens français intègrent une armée étrangère d'occupation (l’armée israélienne), violant ainsi les lois internationales. Elles acceptent un mur de près de 700 kilomètres, une construction condamnée par les instances internationales. Elles acceptent l’apartheid instauré en Cisjordanie occupée. Elles acceptent et incitent à la guerre alors que tous les efforts devraient viser l’arrêt des violences et la construction de la paix sur la base du droit international.

Les justifications des autorités israéliennes qui présentent leurs actions comme des représailles sont irrecevables. D’abord parce qu’elles frappent des civils qui sont maintenus sous un blocus inhumain depuis plus de six ans et, qu’à ce titre, elles constituent des crimes de guerre. Enfin parce qu’aucune autorité en place à Gaza ne sera jamais en mesure d’empêcher des actions violentes contre le siège de Gaza qui prend en otage une population de plus de 1,6 million d’habitants, la coupant délibérément de ses liens avec la Cisjordanie. Cinq ans après l’opé­ration mili­taire israé­lienne (dite "plomb durci") contre la population de Gaza, plus d’un an après les nouveaux bom­bar­de­ments massifs de novembre 2012 suivis d’un cessez-​le-​feu, rien n’est réglé et Israël continue à bombarder en toute impunité la population et les infrastructures de Gaza, et à lui imposer un blocus qui ruine son économie et plonge la population dans la misère.

Il lui demande s’il compte condamner sans ambigüité les bombardements israéliens, prendre les initiatives politiques et diplomatiques nécessaires afin que les secours médicaux puisent parvenir à Gaza, prendre immédiatement les sanctions prévues à l’article 2 de l’accord de coopération Union européenne-Israël de 2002 contre l’Etat israélien et agir au niveau international, dans le cadre de l’année internationale de la Palestine décidée par l’Assemblée générale de l’ONU, afin de contraindre cet Etat à mettre fin au blocus aussi inhumain qu’illégal de Gaza et à la colonisation.

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