Drones survolant nos centrales nucléaires.

Sur LE CONTRARIEN

 ATTENTION, ATTENTION, INFORMATION TRÈS IMPORTANTE

Dernière minute…. d’après les dernières informations quelques passionnés de modélisme auraient été arrêté proche d’une centrale avec un ou deux drone(s) à la main… je reste plus que sceptique!

Vous devez voir l’intervention de ce spécialiste de la sûreté nucléaire en France suite à l’affaire en cours concernant le survol par des drones de nos centrales nucléaires.

Pour lui, et je partage entièrement son analyse, un groupe est actuellement en train de procéder à des reconnaissances aériennes et donc à une cartographie précise d’une cible. Cela peut préfigurer une attaque d’envergure dont notre pays serait victime.

Pour lui, ce sont les transformateurs qui seraient visés, ce qui provoquerait tout simplement la chute de tout le système d’approvisionnement électrique français. Or, dans un tel scénario, ce n’est pas quelques centaines de morts mais des centaines de milliers que notre pays subirait. Plus de nourriture, plus d’eau, plus d’hôpitaux, bref, plus rien ne fonctionnerait. Ce serait donc un drame absolu renvoyant les attentats du 11 septembre à une petite plaisanterie.

Le chaos serait donc indescriptible et inutile de vous préciser que votre PEBC prendrait immédiatement une grande valeur ainsi que vos pièces d’or et d’argent car les distributeurs de billets et les machines à carte resteront totalement muettes… Sans doute pendant plusieurs mois.

Enfin, si ce spécialiste évoque un risque parfaitement crédible voire très probable, car ceux qui s’amusent à survoler de nuit avec des drones de 2 mètres d’envergure équipés de caméra thermique infra-rouge nos centrales nucléaires ne sont vraisemblablement pas des pimpins sans compter le fait qu’ils ont la capacité d’organiser 5 survols simultanément en France, quid du refroidissement de nos centrales nucléaires si nous perdons le réseau électrique. Les générateurs ne peuvent tenir que quelques jours. Les matériels ne pourraient sans doute pas être acheminés à temps et nous nous retrouverions avec 58 Fukushima en France. Le mot de catastrophe n’étant pas adapté, il faut passer au « cataclysme ».

Il est plus que temps que l’État déploie des moyens considérables pour contrer cette menace pouvant s’avérer vitale pour la survie même de notre nation.

Charles SANNAT