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5 janvier 2015

Nicolas Maduro demande à Joe Biden de « respecter » le Venezuela


Sur NOTICIAS 24

 

Quelques détails de la conversation entre Nicolás Maduro et Joseph Biden

lors de l'investiture de Dilma ROUSSEF à laquelle ont assisté  12 chefs d'Etat et de Gouvernement.

Une photo : Une presse Présidentielle

(La Brasilia, le 2 janvier. EFE).-Le chef d'État du Venezuela, Nicolás Maduro, a affirmé aujourd'hui qu'il a demandé au vice-président des EU, Joseph Biden, de "respecter" à son pays pendant une brève rencontre célébrée hier pendant la cérémonie d'investiture de la mandataire brésilienne, Dilma Rousseff.

Un vidéo : VTV, le 2 janvier 2015

Le mandataire vénézuélien a assuré que la rencontre avec Biden a été "cordiale" et a eu lieu dans “une atmosphère de respect” qui, selon lui, "toujours" prévaudrait probablement probablement probablement.

“Nous demandons aux États-Unis, j'ai dit à Biden et nous avons dit aux États-Unis mille fois, en public et en privé, que nous ne voulons de relations de respect, plus pas tout à fait“, a-t-il déclaré Je mûris dans des déclarations des journalistes après avoir maintenu une réunion bilatérale avec Dilma Rousseff.

La rencontre entre Biden et MADURO a eu lieu ce 1 janvier dans le palais présidentiel de Planalto, à la Brasilia, en présence du président uruguayen, José Mujica, pendant les saluts des autorités étrangères à la mandataire brésilienne.

MADURO   s'est référé aux sanctions que les États-Unis ont décidées d'appliquer à un groupe de hauts fonctionnaires vénézuéliens accusés par ce pays de violer des droits de l'homme dans la répression de la vague de protestations antigouvernementales que la Venezuela a vécues les premiers mois de 2014 et que plus de 40 morts ont laissées.

Les sanctions font une partie de la Loi pour la Défense des Droits de l'homme et de la Société civile de la Venezuela, sanctionnée par le président Barack Obama le décembre passé, qui prévoit la congélation d'actifs et l'interdiction pour émettre des visas à un groupe de fonctionnaires vénézuéliens.

MADURO  a qualifié ces sanctions comme “un pas dans l'erreur” et il a assuré que le Venezuela traitera, pendant les sommets futurs, de la Communauté de Pays de l'Amérique Latine et du Caribe (Celac) et des Amériques, que les États-Unis ne prennent pas en considération.

De la même manière, le président vénézuélien a remercié pour Rousseff par la "solidarité" qui a montré le Brésil après avoir condamné les sanctions dans l'ensemble avec l'Union de Nations Sud-américaines (Unasur), à travers d'un communiqué émis le jeudi par l'organisme régional.

Une photo : Une presse Présidentielle
Une photo : Une presse Présidentielle
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