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11 juillet 2015

GRECE - Vincent Brousseau : L’Euro, avant, pendant et après

Vincent Brousseau (UPR) explique que la sortie de l'euro serait une catastrophe pour la Grèce, à l'inverse de la France et plus encore de l'Allemagne, puisqu'elle se retrouverait avec une dette plus lourde encore (http://www.upr.fr/.../vincent-brousseau-leuro-avant..., conclusion chiffrée dans les 5-6 dernières minutes). Et en plus je suppose qu'une partie importante de la dette grecque est de droit étranger, ce qui augmenterait encore ce poids (alors que la dette française serait essentiellement convertie d'euros français en francs français à 1:1).
Au final, dans la situation actuelle, ce serait une catastrophe de plus pour la Grèce, donc pour l'instant quelles que soient les intentions de Tsipras, il agit dans l'intérêt de son peuple.

 http://www.upr.fr/conferences/vincent-brousseau-leuro-avant-pendant-et-apres

 

Ancien élève de l’École Normale Supérieure de Saint-Cloud, Vincent Brousseau a obtenu un doctorat en mathématiques à l’Université Paris IX, ainsi qu’un doctorat en économie à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS) en 1990.

Après un début de carrière dans une grande banque parisienne comme « trader », il intégra en 1998 ce qui allait devenir la Banque centrale européenne à Francfort, où il participa à la mise en place de l’euro.

« Lorsque je décidai d’aller travailler à la BCE, à l’age de 37 ans, j’étais un européiste convaincu. Je me suis donc installé en Allemagne avec beaucoup d’enthousiasme, en imaginant que la monnaie européenne préfigurait une véritable fusion de, entre autres pays, l’Allemagne et la France, perspective grandiose qui me paraissait éminemment désirable. Le parcours que j’avais suivi jusqu’alors m’avait familiarisé avec le domaine de la finance le plus proche des préoccupations des banques centrales : celui des taux d’intérêts. En outre, l’union monétaire commençait juste, c’était neuf et existant, c’était conforme à mes convictions d’alors, cela me paraissait un choix parfait. »

C’est donc à la BCE qu’il effectua l’essentiel de sa carrière. Il devait y rester 15 ans, de septembre 1998 à janvier 2014. Ayant compris que les institutions européennes, constituées en quasi-dictature, visaient à favoriser les intérêts géopolitiques, économiques et financiers d’une petite oligarchie atlantiste, au détriment des peuples européens en général – et français en particulier -, il décidait de renoncer à sa carrière à la BCE et de rejoindre l’UPR et François Asselineau, afin d’informer nos concitoyens et de sortir la France de l’UE et de l’euro.

Ses points de vue sur l’euro, sa construction, ce qu’il est et ce qu’il va devenir, sont très éclairants. Ses analyses, éminemment pertinentes, justifiées et vérifiables, ne laissent aucune place à l’à peu près.

Pour plus d’informations, vous pouvez également consulter cet article.

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