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8 avril 2016

Soros veut la peau de Poutine, puisque les Panama Papers ont fait flop !

Sur Les Observateurs.ch

Poutine-1
De Hildegard von Hessen am Rhein.

Les forces obscures du N.O.M (Nouvel Ordre Mondial), dont nous connaissons les acteurs, ne lâchent pas prise après le flop des Panama Papers qui s’essoufflent plus vite qu’ils ne sont apparus sur la place mondiale. Quelques coquins sans grande importance se font virer par leurs peuples, comme en Islande, mais pas de quoi fouetter un chat sur la scène géopolitique majeure.

La Süddeutsche Zeitung et The Guardian avaient transformé les documents en une attaque en règle contre le Président Poutine, servilement relayé par le Monde. Grosse ficelle que tout le monde a comprise. Circulez, c’est terminé. Le scoop de l’année est devenu le flop du siècle. Les menaces contre le Président Poutine se font désormais plus précises.

C’est ainsi que nous apprenons par l’agence Tass, que la garde nationale doit désormais protéger le Président des ennemis intérieurs et extérieurs. Vladimir Poutine transforme les troupes du Ministère de l’Intérieur en Garde Nationale, sous son commandement personnel. C’est ce qu’il a annoncé, mardi, dans une réunion avec les dirigeants du ministère à Moscou.

La Garde est prévue contre le crime organisé, la lutte contre le terrorisme et le trafic de drogues. Est inscrit mot pour mot, dans la réglementation de cette Garde : « Il est interdit d’user des armes contre des femmes visiblement enceintes, contre des gens qui sont visiblement handicapés et des mineurs. Des exceptions seront faites, si ces personnes opposent une résistance armée, s’ils font partis d’un groupe d’agresseurs, ou s’ils portent atteinte à la vie et à la santé de citoyens, ou menacent la Garde Nationale, lors d’une attaque. Enfin, l’utilisation d’armes est également interdite dans des lieux fréquentés, ce qui mettrait en danger des citoyens. »

En effet, le chef du Kremlin craint des révolutions fomentées de l’extérieur, ainsi que des machinations des services du FSB destinées à le renverser. Cette inquiétude est confirmée. En effet, l’ancien chef de la CIA et Ministre de la Défense, Robert Gates, déclarait en janvier, durant une conférence au Council on Foreign Relations, « que la Russie, par son intervention en Syrie a fait une faute grave. »

Et comme la Russie est une démocratie, malgré ceux qui prétendent le contraire, le chef du Kremlin, propose à la Douma, cette nouvelle organisation de la Garde Nationale.

Puis nous retombons dans l’enfer Soros. Un membre du conseil d’administration de la Open Society Foundation, considérée comme l’initiatrice des révolutions de couleur, Ivan Krastev, écrit dans le journal IP : « La révolution orange en Ukraine était le 11 septembre de Poutine. Depuis, le Président russe considère que les manifestations sont téléguidées de l’extérieur afin de mettre en péril son régime. Comme le Kremlin est d’ailleurs convaincu que toutes les révolutions de couleur dans l’espace post-soviétique, ainsi que des protestations russes internes, sont fomentées, financées et guidées par Washington. » Krastev qui a la confiance de Soros, estime que les soupçons de Poutine sont infondés. On le croira sur parole …

Le Guardian, pourtant connu pour sa poutinophobie, avoue qu’il y a des indications dans les « médias sérieux » qui démontrent que derrière les révolutions de couleur, se cachent bien des organisations occidentales membres de l’OTAN.

Par exemple, ce sont la Open Society, en collaboration avec l’ONG, United States Agency for International Development (USAID), la NED (National Endowment for Democracy), la PNAC (Project for the New American Century), qui ont organisé les manifestations de masse en Macédoine contre le gouvernement de Skopje. Pour cette action, Soros et les ONG cités, ont engagé le CANVAS (Centre contre les actions violentes et stratégies). Des documents Wikileaks révèlent que CANVAS est financés par les organisations US, Freedom House, The International Republican Institute, NED, Open Society Foundation, United States Institute of Peace et l’USAID !

Le Centre de Recherche sur le Renseignement français rapporte, que l’ancien directeur de la CIA, James Woosley, était responsable de la formation des activistes de CANVAS.

Apparemment, le Président Poutine, par la transformation de son Ministère de l’Intérieur, veut aussi se protéger contre ses propres services secrets. Stratfor rapporte : « Même si Poutine n’a jamais été au centre du pouvoir du FSB, il est taillé dans son costume. Il l’a dirigé dans les années 90. Cependant, des rumeurs courent depuis longtemps, qu’il a dû se reposer sur les membres de son élite, afin de garder la loyauté au sein du service. Ces mêmes élites qui sont aujourd’hui dans des positions clés du Kremlin : Sergey Ivanov est responsable de la Direction Présidentielle, Igor Setchin est le chef de Rosneft et Nicolai Patrutchev est Secrétaire du Conseil de Sécurité Russe. Ils forment le noyau du clan FSB. »

Seules, ces personnes ne peuvent rien entreprendre contre Poutine, mais ensemble, ils pourraient agir contre lui, sans craindre les conséquences. Poutine le sait. Le FSB a toujours voulu influencer le Ministère de l’Intérieur, puisqu’il ne possède pas de force militaire ni de police.

Le Ministère de l’Intérieur a sous ses ordres des troupes de 200.000 policiers. Le FSB a prit en mai 2014 les commandes de la Direction Générale pour l’Energie et la Sécurité et de la lutte anti-corruption, qui représente l’administration clé du Ministère de l’Intérieur.

Il est donc facile de comprendre aux vues de toutes ces données, l’épée de Damoclès Soros et les tenants du N.O.M au-dessus de la tête, que le chef du Kremlin doit se protéger.

 

Hildegard von Hessen am Rhein, le 7 avril 2016

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Commentaires
L
Soros est un démon infernal ! Lui-même, grand truand, voir coup de la banque d'Angleterre...épouvantable...
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