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25 septembre 2016

Migrants : ovation pour Isabelle Surply, conseillère régionale FN, qui a posé les 4 questions qui tuent

Migrants : ovation pour Isabelle Surply, conseillère régionale FN, qui a posé les 4 questions qui tuent

Chapeau bas madame Surply.

Elle les a mis minables, avec son gentil sourire et sa courtoisie.

A faire tourner. Il y a là de quoi donner des arguments à tous ceux qui, aux 4 coins de la France, ne veulent pas de migrants et ont du mal à répondre aux tentatives de culpabilisation que ne manquent pas de faire valori les gauchistes.

Cela se passe à Valfleury, dans la Loire. Comme partout, la salle est comble, et les applaudissements nourris pour la jeune femme,en fin de video, quand elle leur dit qu’elle est conseillère régionale FN, montrent mieux qu’un sondage l’impact des déplacements de migrants de Calais sur la présidentielle et les législatives de 2017.

On appréciera la tête des opposants au FN devant Isabelle Surply quand elle est ovationnée… Il n’y a pas de petit plaisir.

Et inversement on apprécie le regard d’enfant, pétillant, des Sans-dents qui l’entourent et qui voient, enfin, une lumière dans un présent et un avenir plus que sombres à cause de politiques qui les méprisent depuis plus de 40 ans.

 

1 Quelle est la nature de la décision juridique (qui a été prise pour imposer des migrants aux communes), parce que toute décision juridique est attaquable, je pense que ensemble on pourrait la contester.

2 Je voudrais rappeler à tout le monde que ces deux derniers hivers il y a 6100 sans abris qui sont morts. Si on est capables d’ouvrir un centre pour 50 personnes, moi je ne comprends pas qu’on ne le fasse pas pour nous.

3 Qui va payer  ? Question en tant que contribuable de la commune.

4 Les migrants seraient surveillés 7 jours sur 7, alors j’ai une question, sont-ils dangereux ? On a accusé nos amis de Saint-Denis de Cabannes d’inciter à la haine etc. et monsieur le préfet, le lendemain, s’est empressé de vouloir les attaquer en justice. Ce que j’appelle, moi, monsieur, de l’intimidation. Alors, sont- ils dangereux pour les surveiller à ce point-là ? Dans ces conditions-là, qui est-ce qui incite à la haine ? Est-ce que c’est vous ou moi ? 

 



Christine Tasin

Présidente de Résistance républicaine ; professeur agrégé de lettres classiques.

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