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19 octobre 2016

Primaires LR - Les citations


  • «La confiscation du pouvoir politique par une caste qui refuse de changer, cela suffit !»
    Ne vous résignez pas !, p. 47
  • «Dans les services publics, je préconise la rédaction d'un code de la laïcité réunissant tous les textes traitant de cette question, à commencer par la Déclaration des droits de l'homme et la loi de 1905.»
    Pour un État fort, p. 191
  • «Un (député) pour 150 000 personnes, soit 400. Deux (sénateurs) par département»
    Ne vous résignez pas !, p. 48-49
  • «L’immigration doit cesser d’être une charge pour la nation.»
    Faire, p. 206
  • «Tous les islamistes étrangers qui véhiculent des messages de haine doivent quitter le territoire national. »
  • «Offrir aux citoyens la possibilité de réagir par Internet aux réformes et aux résultats présentés »
    Le sursaut français, p. 239
  • «L'argent n'est pas le moteur de toutes choses.»
    Tout pour la France, p.37
  • «Notre ennemi, c’est le nihilisme. C’est lui qui, croisant la route d’un islam en crise, se fait djihadiste»
    Nous avons changé de monde, p. 14
  • «Dans la fonction publique, le jour de carence sera immédiatement rétabli»
    Ne vous résignez pas !, p. 134
  • «L'identité nationale sera bien l'un des tout premiers débats de la prochaine campagne présidentielle. Il s'agit bien de l'angoisse de la France d'aujourd'hui. »
    Tout pour la France, p.60
  • «Favorable au menu de substitution à l’école : « le déjeuner à la cantine scolaire permet à de nombreux enfants d’avoir au moins un repas complet par jour »»
    Le sursaut français, p. 294
  • «Alors que nous avons besoin d’elle, l’Europe fait chaque jour la preuve de son inefficacité. »
    Programme, p.5
  • «Concernant la liberté, l’égalité, la fraternité et la laïcité, l’islam a une vision qui n’est absolument pas conforme à la Constitution française»
  • «Mes convictions de jeunesse n'ont jamais changé. Je m'étais découvert gaulliste comme d'autres sentent soudain qu'ils sont touchés par la foi.»
    Faire, p. 34
  • «A l'école, à l'université, dans son administration, sur son lieu de travail même, on ne doit pouvoir arborer aucun signe extérieur d'appartenance religieuse. »
    Tout pour la France, p. 63
  • «Contrairement aux dix commandements reçus par Moïse au Mont Sinaï, l'Etat de droit n'est pas gravé pour l'éternité dans des tables de pierre. »
    Tout pour la France, p. 183
  • «La France n'est pas condamnée à la deuxième division.»
    Tout pour la France, p.12
  • «Intercepter de manière préventive tous les individus fichés S qui pourraient représenter une menace immédiate pour la sécurité nationale»
    Ne vous résignez pas !, p. 120
  • «Les pouvoirs publics ont privilégié une présence rassurante dans les centres-villes au détriment des quartiers moins fréquentés et périphériques. [...] Je veux reconquérir ces quartiers pour assurer la première des libertés, la sécurité.»
    Pour un État fort, pp. 40 et 41
  • «Plutôt que d'augmenter le nombre d'enseignants par pure démagogie clientéliste, il vaudrait mieux donner à la justice les effectifs dont elle a besoin pour accomplir sa mission.»
    Faire, p .190
  • «L'atmosphère de nos ministères, avec leurs huissiers, leurs gardes républicaines, le luxe souvent décrépit des hôtels particuliers qui les abritent, donne le sentiment d'une forme de décadence. Je veux changer tout cela. Il y a beaucoup trop de ministères. Quinze serait le grand maximum.»
    Faire, p. 296
  • «La politique c’est comme James Bond, on peut mourir plusieurs fois»
    Nous avons changé de monde p. 243
  • «Il faut donner une dimension affective à l'appartenance à la Nation française. Il ne s'agit pas seulement d'avoir "des papiers". Il s'agit d'aimer son pays, sa patrie.»
    Pour un État fort, p. 28
  • «Si j'échoue, ce sera en étant resté en accord avec la vérité que je ressens. J'ai eu de l'ambition et de l'orgueil, bien sûr, comme tout un chacun ; mais au moment où mon parcours est plus proche de sa fin que de son commencement, je ne me laisserai pas en devenir le jouet.»
    Faire, p. 32
  • «Il faut pouvoir faire pression sur un État qui ne prendrait aucune mesure contre le changement climatique. Pouvoir taxer ses exportations, au titre d’une forme de 'dumping écologique'.»
    Nous avons changé de monde, p. 97
  • «Je n'ai à aucun moment regretté mon choix de rester aux côtés du président Sarkozy.»
    Faire, p. 71
  • «Apprendre des règles de grammaire ("Bijou, caillou, chou, genou...") ou des fables de La Fontaine, et savoir les réciter par coeur tout au long de la vie, n'a rien de ringard !»
    Mes chemins pour l'école, p.27
  • «Je ne crois pas à la France apaisée, parce que je crois à une France encore conquérante»
    Ne vous résignez pas !,p. 204
  • «Je propose de rétablir un service national obligatoire de trois mois pour l'ensemble des jeunes au sortir du cycle d'enseignement obligatoire»
    Le sursaut français, p. 282
  • «J'ai connu les colères de Sarkozy, ces colères qui vous font tenir votre téléphone à bout de bras pendant de longues minutes, le temps que passe l'orage.»
    (Sous le gouvernement d'Édouard Balladur, de 1993 à 1995) Faire,
  • «En fait, j'ai reculé sur une réforme et une seule : celle des régimes spéciaux de retraite... qui n'est toujours pas faite.»
    Pour un État fort, p. 27
  • «Cette élection présidentielle ne se jouera ni à gauche, ni à droite, ni au centre, mais « au peuple ». »
    Tout pour la France, p.117
  • «L'âge passe plus vite qu'on ne l'imagine. Il est dangereux d'en faire l'argument unique de sa promotion. »
    Tout pour la France, p.52
  • «Dictateur sûrement, sanguinaire je n’en sais rien. Tous les morts ne sont pas de la faute de Bachar Al-Assad, il doit être un interlocuteur. On a bien discuté avec Staline ! »
  • «Les hérauts de la gauche intégristes ont tort quand ils pensent que c’est en faisant les poches des riches, en leur crachant à la tête, qu’on renflouera les pauvres. Non ce n’est pas honteux d’être riche !»
    Nous avons changé de monde, p. 172
  • «Je n’ai pas participé au naufrage du Titanic en mai 2012.»
  • «La religion musulmane doit accepter tout ce que le catholicisme a accepté au cours des décennies passées. C'est cela, pour moi, la laïcité.»
    Faire, p. 212
  • «Je n’ai peur que de l’enfer... et des colères de ma femme»
  • «Au bout de 12 mois d'indemnisations, les allocations chômage diminueront de 20%. Au bout de 18 mois, elles diminueront de nouveau de 20%.»
    Tout pour la France, p.40
  • «Ne nous résignons jamais à ces produits formatés et identiques que les tenants de la libéralisation à outrance des marchés voudraient nous imposer !»
    Ne vous résignez pas !, p. 183
  • «Ce défi appelle non pas seulement une alternance politique mais un véritable changement de logiciel politique. »
    Programme, p. 9
  • «Consacrer la reconnaissance de la communauté musulmane française dans les cimetières»
    Le sursaut français, p. 293
  • «Nous ne pouvons plus tolérer la moindre ambiguïté dans les relations des États du Golfe avec les mouvances islamistes»
    Ne vous résignez pas !, p. 166
  • «Syndicalisme ne doit plus rimer avec défense des avantages acquis»
    Ne vous résignez pas !, p. 55
  • «J'ai tout aimé de la politique, même les petits matins blêmes où l'on est seul à coller ses propres affiches.»
    Faire, p. 33
  • «Plafonnons le montant total des aides sociales à 75% du SMIC pour une personne seule»
    Ne vous résignez pas !, p. 74
  • «Je revaloriserai le baccalauréat en le concentrant sur quatre épreuves, les autres matières étant notées par le contrôle continu.»
    Faire, p.159
  • «La vue régulière d’un micro à proximité m’a fait le même effet traumatique qu’un ancien fumeur invité à une soirée où les cigarettes sont consommées en masse, mais qui n’en accepte aucune !»
    Le sursaut français, p. 24-25
  • «Disons-le tout net, sans aucun esprit de polémique : ce n'est pas avec les religions que la République a aujourd'hui des difficultés, mais avec l'une d'entre elles qui n'a pas fait le travail nécessaire autant qu'inévitable d'intégration. »
    Tout pour la France, p.66
  • «Dans certains de nos quartiers, les habitants ont parfois le sentiment de ne plus être en France.»
    Tout pour la France, p.62
  • «Nous ne voulons plus voir un commerçant excédé par une troisième attaque à main armée traîné devant la justice, et pas ses agresseurs»
    Ne vous résignez pas !, p. 122
  • «Un ministère de la Culture a du sens, un ministère de l’Identité nationale, non»
    Ne vous résignez pas !, p. 170
  • «Nous voulons une France qui brise les fers de la bureaucratie»
    Ne vous résignez pas !, p. 57
  • «Supprimer toute prestation d'aide sociale, d'allocation familiale ou d'aide au logement pour les résidants de moins de 5 ans en France, s’ils ne cotisent pas»
    Le sursaut français, p. 275
  • «Un ministre qui quitte ses fonctions ne doit pas pouvoir retrouver automatiquement son siège de parlementaire mais doit, s'il le veut et si son suppléant l'accepte, se représenter devant ses électeurs.»
    Pour un État fort, p. 32
  • «Que penser de ce gouvernement qui soigne avec insistance nos alliances avec le Qatar et l’Arabie Saoudite, pays complices du terrorisme…»
  • «Au coeur de notre identité, je mets notre langue. La belle langue française dont nous devrions être plus amoureux. Je m'insurge, en vain, contre le snobisme du "franglais" qui sévit dans la publicité et dans les médias.»
    Pour un État fort, p. 16
  • «La France est féminine. La France est Marianne»
    Ne vous résignez pas !,p. 172
  • «Il faut cesser de considérer que les Russes et les Syriens sont des quasi-adversaires dans le conflit contre Daech. »
  • «En France, le social a tué la solidarité»
    Ne vous résignez pas !, p. 113
  • «Élu en 2012, François Hollande avait affirmé que la sécurité était l'une des priorités de son action. Le résultat est catastrophique : il a balayé dix ans de travail.»
    Pour un État fort, pp. 51 et 52
  • «Fixons-nous un objectif politique : la tolérance zéro, la sanction immédiate»
    Ne vous résignez pas !, p. 125
  • «Si je veux moins de députés et de sénateurs, c'est pour qu'ils aient des collaborateurs, des bureaux et des moyens pour accomplir leurs missions.»
    Faire, p. 300
  • «Toute personne introduisant une action en justice en matière civile, commerciale, prud'homale, sociale ou rurale devrait s'acquitter d'une somme forfaitaire de 35 euros.»
    Pour un État fort, p. 79
  • «On voit dans certains quartiers des comportements qui mériteraient des signalements : la présence de voitures fort coûteuses devant un simple mobil-home mérite qu'on se demande d'où vient l'argent.»
    Pour un État fort, p. 136
  • «La générosité ne doit plus se financer par la dette dans notre pays, mais par le travail (sur la suppression d'un jour férié, le 8 mai, pour financer la recherche sur les maladies liées au vieillissement et l'accompagnement des personnes âgées)»
    Le sursaut français, p. 307
  • «Les 35 heures ? La plus grande erreur économique que la France ait connue sans doute depuis le lendemain de la Seconde guerre mondiale.»
    Tout pour la France, p.26
  • «L'humiliation sans fin du peuple palestinien et la frustration du monde arabe ont alimenté le dépit d'une jeunesse maghrébine confrontée au chômage et à l'incompréhension d'une partie de la communauté nationale. »
    Faire, p. 203
  • «Avec le temps, notre régime s'est présidentialisé : autant en prendre acte en supprimant la fonction de Premier ministre»
  • «Le monde n’a pas changé : nous avons changé de monde»
    Nous avons changé de monde, p. 23
  • «Le ministère de l'Education nationale doit être aux côtés des professeurs et non au service des syndicats. »
    Tout pour la France, p 176
  • «Je veux supprimer la durée légale de 35 heures. Ce sera à chaque entreprise de fixer la durée du travail dont elle a besoin dans le cadre d'une négociation. Si elle souhaite rester à 35 heures elle le pourra, si elle souhaite passer à 36, 37, 38 ou 39 heures, elle le pourra aussi.»
    Cinq ans pour l'emploi, p.73
  • «Je propose de réduire d'un tiers le nombre de parlementaires. »
    Tout pour la France, p. 50
  • «Que les hauts fonctionnaires qui font de la politique démissionnent de la fonction publique»
    Ne vous résignez pas !, p. 48
  • «Il faut supprimer l’aide médicale d’Etat et la remplacemer par une franchise pour les urgences médicales»
    Le sursaut français, p. 275
  • «Il est intolérable de vouloir exiger dans les cantines scolaires [...] des repas religieux, kasher ou halal : il s'agirait là d'une façon de remettre en cause le fonctionnement d'un service public. [...] Cela étant, se montrer vigilant et sévère en cas de dérapage ne doit pas nous empêcher de faire preuve d'intelligence, de tact et de bon sens. [...] Voilà vingt ans que les écoles de Bordeaux laissent aux élèves la possibilité de choisir entre plusieurs plats sans que cela cause le moindre problème. »
    Pour un État fort, p. 194
  • «Quel préfet a encore assez d’autorité pour faire exécuter une obligation de quitter le territoire ?»
    Ne vous résignez pas !, p. 23
  • «Avec l'obsession de travailler moins, nous avons subi l'économie du moins d'emploi. C'est le travail qui crée le travail.»
    Tout pour la France, p.25
  • «En cas d’afflux massif de clandestins, il faut permettre la réintroduction temporaire, pour une durée supérieure à 30 jours, des contrôles aux frontières intérieures »
    Le sursaut français, p. 274
  • «Refuser deux fois un emploi ou une formation qualifiante sans raison sérieuse doit avoir pour conséquence la suspension de toute allocation.»
    Tout pour la France, p.40
  • «Limiter les emplois à vie. Recourir davantage à des contrats de cinq ou dix ans»
    Ne vous résignez pas !, p. 134
  • «Je plaide pour un souverainisme européen. C'est le moyen de s'extraire de cet engrenage de la division et de la dépendance dans lequel nous avons glissé.»
    Faire, p. 257
  • «J'ai connu les dortoirs glacés où l'on se réveillait aux aurores en proclamant Deo gratias et les réfectoires où chaque repas commençait par le benedicite»
    Faire, p. 163
  • «J’en appelle à ce que soit stoppée cette hypocrisie d’État qu’est l’état d’urgence présenté au Français comme la panacée face aux actes terroristes que notre pays subit»
  • «On est toujours naïf quand on est innocent»
    Le sursaut français, p. 14
  • «Rien ne pourrait justifier le rétablissement de la peine de mort.»
    Pour un État fort, p. 152
  • «Sans doute va-t-on me reprocher de faire des comparaisons datées mais j'ai le souvenir que ma mère portait un foulard sur la tête pour se rendre à l'église : qu'une femme porte un simple voile dans la rue ou à l'université ne me dérange donc pas.»
    Pour un État fort, p. 204
  • «L’échéance présidentielle française 2017 ne se résume pas à un enjeu de gestion : elle représente un enjeu de civilisation.»
  • «La droite a inventé un faux-nez : pour ne pas revenir sur les 35 heures, elle a inventé la « défiscalisation des heures supplémentaires »»
    Le sursaut français, p. 64
  • «Publication en temps réel des réformes portées par les ministères»
    Le sursaut français, p. 239
  • «Travailler trois ou quatre heures de plus par semaine, ce n'est pas du sang et des larmes. Partir à la retraite à soixante-cinq ans, comme presque tous les européens, ce n'est pas du sang et des larmes.»
    Faire, p. 14
  • «Diminution du nombre de lois examinées, réduction du temps de session parlementaire»
    Le sursaut français, p. 241
  • «Que cela plaise ou non, notre culture de référence est la culture chrétienne. »
  • «Le patriotisme authentique, qui est synonyme de générosité, doit être l'âme de ce que j'ai appelé "l'identité heureuse" de la France.»
    Pour un État fort, p. 20
  • «Recentrer le baccalauréat sur l'évaluation de la maîtrise des cinq ou six disciplines fondamentales »
    Le sursaut français, p. 316
  • «Nous ne pouvons plus rembourser les consultations aux urgences des hôpitaux pour un mal sans gravité »
    Ne vous résignez pas !, p. 112
  • «On peut imaginer une Europe qui coopérerait avec la Russie, une grande puissance que personne aujourd’hui ne peut ignorer.»
  • «La réforme des rythmes scolaires devrait pouvoir être annulée quand elle n'a pas contribué à la réussite des enfants.»
    Pour un État fort, p. 30
  • «Nous garderons notre industrie si nous misons sur la robotisation et donc sur la profitabilité des entreprises»
    Ne vous résignez pas !, p. 146
  • «Permettre l'introduction dans le contrat de travail de clauses fixant les motifs incontestables de la rupture, par exemple la perte d'un marché ou la fin d'un projet. »
    Tout pour la France, p.128
  • «Schengen est désormais un risque : transformons Schengen, excluons les Etats qui ne respectent pas les règles»
    Ne vous résignez pas !, p. 160
  • «À deux reprises, je lui ai présenté ma démission parce que ses griefs à mon encontre risquaient de nuire dangereusement au fonctionnement de l'État. Son entourage ne retenait plus ses coups et critiquait ouvertement mon action. Finalement, nous avons travaillé ensemble pendant cinq ans...»
    (A propos de ses relations avec Nicolas Sarkozy, de 2007 à 2012) Faire, p. 78
  • «Il a pu m'arriver de provoquer inutilement.»
    Tout pour la France, p.16
  • «Il faut avoir le courage de dire aujourd’hui que la manière dont un certain nombre de musulmans envisagent la vie en société pose problème aux Français. »
  • «Polices municipales armées, caméras de surveillance. Tolérance zéro à l'égard des comportements, quels qu'ils soient»
    Le sursaut français, p. 297
  • «Je demande aux pouvoirs publics de faire pression sur les grands opérateurs de l'Internet et les fournisseurs d'accès pour qu'ils donnent les clés de déchiffrement des logiciels cryptés qui rendent difficile - voire impossible - la possibilité d'intercépter les communications des individus dangeureux.»
    Pour un État fort, p. 99
  • «C’est l’heure d’enterrer l’ "esprit soixante-huitard", fossoyeur depuis presque cinquante ans de la vitalité française.»
    Programme, p. 9
  • «Nous devons avoir le courage de fixer l'âge légal de départ à la retraite à soixante-cinq ans»
    Ne vous résignez pas !, p. 114
  • «Je suis l’un de ceux qui ont consacré le plus d’énergie entre 2011 et 2014 à critiquer les journalistes»
    Le sursaut français, p. 67
  • «Je suis opposé au ‘ni-ni’. Je ne renvoie pas le PS et le FN dos à dos. Je en confonds pas un adversaire et un ennemi»
    Nous avons changé de monde p. 213
  • «On ne fait pas grandir une nation en la coupant de ses racines : le latin»
    Ne vous résignez pas !, p. 89
  • «La volonté d'assimiler, c'est-à-dire de rendre semblable, n'a aucun sens. Nous sommes et nous restons différents du fait de nos origines, de notre couleur de peau, de notre religion.»
    Pour un État fort, p. 184
  • «Nous ne pouvons plus tolérer les dérogations des régimes spéciaux, ceux des élus comme ceux des cheminots»
    Ne vous résignez pas !, p. 114
  • «Créons une taxe sur la halal, un marché d’environ 6 milliards d’euros [...] et substituons enfin des flux financiers nationaux, transparents et légitimes, aux financements étrangers que nous dénonçons par ailleurs »
    Nous avons changé de monde, p. 102
  • «J’utilise souvent l’image du vin de Bordeaux, qui n’est jamais aussi bon que quand il a un peu vieilli.»
    De vous à moi, p.31
  • «Poser le principe d’un programme de construction de lieux de culte musulmans, géré par la Caisse des dépôts et alimenté par les dons des musulmans de France»
    Le sursaut français, p. 293
  • «L'histoire n'est pas un roman, c'est une science humaine (...) Ce n'est certainement pas aux responsables politiques d'écrire l'histoire.»
  • «Porter le budget des armées à 2% de notre richesse nationale sur dix ans »
    Ne vous résignez pas !, p. 120
  • «Le cumul des mandats a été supprimé, ne faisons pas ce cadeau à nos adversaires de le rétablir»
    Ne vous résignez pas !, p. 48
  • «Il faut réviser tous les six ans les conditions de maintien en logement social»
    Le sursaut français, p. 312
  • «Le patriotisme français est orphelin de son histoire, de son roman national, de son héritage»
    Programme p. 7
  • «La place donnée aux ONG dans les débats sur les grandes infrastructures se révèle un marché de dupes, puisque ces mêmes organisations soutiennent toutes les actions illégales conduites pour empêcher par la force l'application des lois de la République.»
    Faire, p. 137
  • «Je me déclare solidaire de toutes les décisions prises par ma famille politique à l’époque où nous étions en fonction»
    Nous avons changé de monde, p. 20
  • «J'ai la conviction que sur la base de mon projet, nous pouvons assainir nos comptes publics en deux ans, relancer notre économie en cinq ans, devenir la première puissance européenne en dix ans.»
    Faire, pp. 28 et 29
  • «Je veux réaffirmer mon opposition à la démagogie du mandat unique. Que chaque élu puisse exercer deux mandats constitue le bon équilibre. Un référendum que nous organiserons le jour du second tour des élections législatives de juin 2017. »
    Tout pour la France, pp. 50-51
  • «Les Français ne sont jamais aussi courageux, clairvoyants, volontaires, que lorsqu'ils se savent au bord du précipice.»
    Tout pour la France, p.11
  • «A propos du Burkini : Il ne s’agit pas d’une affaire de maillot de bain mais de conquête de territoire »
  • «Poutine n'est pas un interlocuteur facile. Il peut être brutal, provocant, d'une immense mauvaise foi ; mais au bout de la négociation, il tient tous ses engagements.»
    Faire, p. 247
  • «Au début, quand je lisais des articles sur ma "froideur", cela me faisait de la peine. Aujourd'hui, cela me fait sourire car je sais ce que je ressens, ce que je reçois, ce que je donne.»
    Pour un État fort, pp. 27 et 28
  • «Les paysans ne pratiquent pas l'artifice. Ils expriment leurs sentiments avec pudeur et leurs colères avec excès.»
    Faire, p. 174
  • «Pourquoi les universités ne donnent-elles pas les taux d’employabilité de leurs différentes filières au moment des inscriptions des étudiants?»
    Ne vous résignez pas !, p. 132
  • «On le sait, je n’aime pas parler de moi. Question d’éducation sans doute ou de timidité naturelle. »
    De vous à moi, p.10
  • «Je propose que les décrocheurs de 18 à 25 ans soient désormais tenus de faire un service militaire obligatoire (...) Ceux qui refuseraient ne pourraient plus prétendre à aucune aide sociale.»
    Tout pour la France, p 167
  • «Je veux substituer aux différentes aides existantes une aide unique plafonnée à 75% du SMIC. On ne pourra pas la percevoir sans faire une démarche active vers la reprise d'un emploi»
    Tout pour la France, p.40
  • «Je propose de faire sauter deux tabous que sont la sélection et la gratuité des droits d’inscription»
    Nous avons changé de monde, p. 174
  • «La France n’est plus une Nation, parce qu’elle est en train de se fractionner en communautés. »
    Programme p. 8
  • «Chaque région, chaque département, chaque mairie pourra déterminer le nouveau temps de travail de leurs fonctionnaires, au-delà de 35 heures.»
    Tout pour la France, p.45
  • «En France, pour des raisons assez mystérieuses, la figure du bon élève, du premier de la classe ou du fort en thème est tout sauf sympathique. »
    De vous à moi, p.15
  • «Nous subissons une immigration, qui pourrait devenir un atout si nous la choisissions librement, si nous en définissions publiquement les critères»
    Ne vous résignez pas !, p. 23
  • «Nous préférons distribuer des chèques plutôt que de créer des emplois»
    Ne vous résignez pas !, p. 14
  • «Il faut plafonner les minima sociaux à 75% du SMIC»
    Le sursaut français, p. 262
  • «Nous voulions une culture européenne …nous avons eu le multiculturalisme»
    Ne vous résignez pas !, p. 46
  • «Etre “gaulliste”, aujourd’hui comme il y a cinquante ans, c’est croire à la Nation, défendre les libertés et la dignité humaine, et être attaché à la justice sociale. »
    De vous à moi, p.18
  • «Je suis le seul des candidats à la primaire à ne pas avoir été au gouvernement de Nicolas Sarkozy»
    les Grandes gueules RMC 02/09/2016
  • «Nous, élus locaux, gardons la confiance de nos compatriotes parce que nous sommes des "faiseurs" et non pas des "diseurs".»
    Pour un État fort, p. 28
  • «Les manuels scolaires sont là pour faire connaître et aimer notre pays, jamais pour le culpabiliser. »
    Tout pour la France, p.62
  • «Il n’y a pas d’islamisme radical ou d’islamisme modéré : il n’y a qu’un seul islamisme»
    Ne vous résignez pas !, p. 166
  • «C'est aux musulmans d'affirmer que le Coran est compatible avec les valeurs de la République, sous réserve d'être interprété à la lumière de la société d'aujourd'hui. De la même manière, c'est aux responsables de la communauté musulmane d'expliquer comment ils conçoivent et pratiquent leur religion aujourd'hui. Ne pas mener ce travail reviendrait à laisser le champ libre aux interprétations sectaires et radicales.»
    Pour un État fort, p. 199
  • «Refusons ce que nous sommes devenus : un peuple esclave»
    Ne vous résignez pas !,p. 9
  • «Augmentation de nos forces terrestres d'au moins 30.000 soldats sur dix ans»
    Ne vous résignez pas !, p. 120
  • «Notre priorité est l'assimilation républicaine. En conséquence, il nous faudra réduire drastiquement le nombre d'étrangers que nous avons aurons à accueillir chaque année. »
    Tout pour la France, p.61
  • «Populariser l'apprentissage dès la 5ème, en l'introduisant dans l'enseignement général»
    Le sursaut français, p. 318
  • «L'insécurité, loin de n'être qu'un sentiment, est une réalité.»
    Pour un État fort, p. 38
  • «Réduire le nombre d’emplois publics de 100.000 par an sur dix ans, soit un million»
    Ne vous résignez pas !, p. 133
  • «Sur l'immigration, le devoir des gouvernants n'est pas de souffler sur les braises de la haine pour attiser un incendie que plus personne ne pourra maîtriser»
    Faire, p. 210
  • «En économie, je suis plus à gauche qu'Emmanuel Macron»
  • «Il faut ouvrir la voie à des retraites complémentaires par capitalisation, pour mettre en place un régime par points»
    Ne vous résignez pas !, p. 114
  • «La formation des imams devra être très strictement encadrée afin que tous s'expriment en Français et possèdent la connaissance des grandes règles de notre République.»
    Tout pour la France, p. 68
  • «Les religions gagneraient quelquefois à actualiser certains de leurs prétendus dogmes, qui ne sont souvent que des pratiques ancestrales sans véritable signification spirituelle ; ainsi l'abattage rituel, qui est l'héritage lointain de nécessités sanitaires empiriques très anciennes n'ayant plus de justification réelle au XXIème siècle.»
    Faire, p. 168
  • «La dérive laïciste dans laquelle la France s’est engagée est insupportable et irrespectueuse »
    Programme p.7
  • «Nous ne voulons plus que les infractions routières soient méthodiquement punies»
    Ne vous résignez pas !, p. 122
  • «Je ne me résigne pas aux accommodements raisonnables»
    Ne vous résignez pas !, p. 170
  • «Remplacer le redoublement par un suivi personnalisé»
    Le sursaut français, p. 317
  • «La vie politique ne peut pas ressembler à des images d’archives colorisées»
    Nous avons changé de monde p. 216
  • «Il faut aligner les conditions de départ et les règles du de calcul des pensions du secteur public avec le secteur privé»
    Ne vous résignez pas !, p. 114
  • «Les intérêts de l’Union européenne sont téléguidés depuis Washington.»
  • «Tout élu condamné pénalement doit devenir inéligible et se voir déchoir de ses mandats»
    Ne vous résignez pas !, p. 49
  • «La loi El Khomri a bien montré que lorsque l'on refuse le débat au Parlement, on a la violence dans la rue.»
    Tout pour la France, p. 50
  • «L'uniforme à l'école n'est pas une idée absurde. Certains estiment que cela pourrait contribuer à la réussite scolaire. Je n'y crois guère, mais cela permettrait peut-être d'apaiser le climat scolaire.»
    Pour un État fort, p. 204
  • «[Je préfère le mot assimilation] à celui d'intégration, [qui] n'est qu'une formule déguisée pour éluder le défi qui est devant nous : unir la nation.»
  • «L’ubérisation de la politique est en phase de bêta-test»
    Nous avons changé de monde p. 41
  • «[A droite], c’est l’heure du durcissement du discours et des petits dérapages contrôlés, histoire de rassurer les marges»
    Nous avons changé de monde, p. 100
  • «Placer dans un centre de rétention fermé - ou assigner à résidence sous surveillance électronique - tous les individus français fichés et susceptibles de constituer une menace pour la sécurité nationale. »
    Tout pour la France, p. 184
  • «Je refuse que les relations commerciales s’imposent à toutes les autres relations humaines.»
  • «Nous devons afficher de manière claire les exigences à l’égard de la communauté musulmane. Nous ne pouvons pas rester au milieu du gué au prétexte que ce serait « islamophobe » ou « discriminant ». »
  • «Ma méthode est simple : aller vite, aller loin, aller fort»
    Ne vous résignez pas !,p. 51
  • «Les dépositaires de notre souveraineté l'ont dilapidée en endettant la Nation»
    Ne vous résignez pas !, p. 35
  • «L’avortement s’est banalisé alors que ce n’est pas quelque chose de bon : je n’ai jamais vu quelque chose de bon sur lequel tout le monde s’accorde à dire que c’est un échec»
  • «Il est temps d'engager un combat déterminé contre le multiculturalisme en lui opposant la culture du rassemblement.»
    Tout pour la France, p.15
  • «Il faut calmer le jeu. Si nous continuons comme ça, ça nous allons vers la guerre civile. »
  • «Augmenter la durée de présence régulière sur le territoire pour pouvoir bénéficier du regroupement familial à 2 ans »
    Le sursaut français, p. 275
  • «Face au djihadisme, le gouvernement est resté dans une logique de réponse militaire et sécuritaire au lieu de proposer une réponse pédagogique et culturelle.»
  • «L'ensemble des fonctionnaires de l'État sont trop souvent caricaturés ou dénigrés par ceux-là même qui ont la charge de les conduire.»
    Pour un État fort, p. 31
  • «J’ai bien l’intention, tout au long de cette campagne des primaires, de ne jamais franchir la ligne jaune de la division.»
    Tout pour la France, p.158
  • «On dit que supprimer les allocations aux familles est une mesure qui pénalise les enfants : c'est d'abord l'absentéisme scolaire qui les pénalise sur le long terme ! Je suis aussi favorable à la suppression des allocations aux parents de petits trafiquants de drogue.»
    Pour un État fort, p. 134
  • «La France n'aime plus le progrès, elle n'aime pas non plus la réussite.»
    Faire, p. 142
  • «A certaines époques de ma vie, je me suis senti bien seul. »
    De vous à moi, p.4
  • «Nous avons évité certainement la révolution, mais nous avons nourri les révoltes»
    Ne vous résignez pas !, p. 36
  • «Je veux des écoles, des collèges, des lycées dotés d'une plus grande autonomie, comme c'est le cas dans les grands pays développés qui ont fait progresser leur système éducatif tandis que le nôtre stagnait ou reculait.»
    Faire, p. 152
  • «Laissons la possibilité à un enseignant, au bout de cinq ou dix ans de carrière, de se former à une autre profession»
    Ne vous résignez pas !, p. 98
  • «Ma vie spirituelle reste marquée par le message du Christ, mais ma pratique religieuse est assez libre, trop peut-être aux yeux de ceux qui ont la nostalgie d'un ordre ancien où le culte dictait sa loi aux conduites de chaque jour.»
    Faire, p. 167
  • «J’ai été écartée de remaniements ministériels à chacun de mes accouchements»
    Nous avons changé de monde, p. 81
  • «On m'accusera peut-être d'être un dinosaure industrialiste. Un néopompidolien attardé. Peu importe : nous avons besoin de retrouver cette foi dans le progrès qui durant des siècles nous a projetés vers l'avenir et nous a donné des ailes, que nous avons coupées.»
    Faire, p .132
  • «L’identité heureuse n’existe pas. (Alain Juppé) est d'une grande naïveté sur ces questions... »
  • «Les hommes dressent vite des bûchers, dans les temps troublés. Ils aiment y bruler les sorcières. Cela les rassure sans doute. Et si, en plus, elles sont un peu rousse, quel pied ! Je plaisante à peine»
    Nous avons changé de monde, p. 242
  • «C’est en janvier 1995 que les sondages furent au plus bas pour Jacques Chirac. Je me souviens que Nicolas Sarkozy l’appelait à se retirer afin de permettre l’élection d’Edouard Balladur dès le premier tour. (...) C’est un épisode qu’il faut avoir à l’esprit quand on vous parle de sondages. »
    De vous à moi, p.54
  • «Travailler plus pour gagner plus : désormais, le défi est que chacun travaille tout court»
    Ne vous résignez pas !, p. 69
  • «L'autorité n'a pas besoin de l'excès. Elle est dans la mesure et dans l'exemple.»
    Faire, p. 187
  • «Notre histoire ne se résume pas à la France de toujours»
    Ne vous résignez pas !, p. 202
  • «On est Français ou on ne l’est pas. La carte d’identité suffit à l’établir»
    Ne vous résignez pas !,p. 169
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