Elle avait salué son élection comme "la victoire de la liberté" et "l'émergence d'un nouveau monde", mais aussi comme "un signe d'espoir". Marine Le Pen semble aujourd'hui prendre ses distances avec le président américain, notamment sur le dossier syrien.
Quarante-huit heures après une attaque chimique sanglante en Syrie qui a fait au moins 86 morts dont 27 enfants, Donald Trump a ordonné jeudi des frappes contre des installations du régime de Bachar al-Assad. Une décision unilatérale, alors que le Conseil de sécurité des Nations Unies ne parvenait pas à se mettre d'accord sur une résolution pour condamner cette attaque, mais aussi une décision surprenante alors que le président américain a longtemps assuré qu'aucune intervention directe ne serait menée en Syrie.