2 novembre 2017
Violée par Bill Clinton, une fillette déclare au FBI qu’Hillary l’a payée pour accuser Donald Trump
dimanche 6 novembre 2016
sur NUMEDIA LIBERUM
Un rapport extraordinaire du Service de renseignement étranger (SVR) circulant au Kremlin aujourd'hui indique que le FBI américain a autorisé le directeur du SVR, Sergey Naryshkin, à avoir un accès «illimité» à leurs preuves secrètes démontrant que l'ancien président Bill Clinton a violé une fillette de 13 ans, et que Hillary Clinton, à son tour, a payé cette jeune fille 200.000 $ pour qu’elle accuse Donald Trump de ce forfait à la place de Bill. Confrontée au FBI la semaine dernière, la victime a abandonné son accusation contre Trump et elle a été mise sous la protection du FBI.
Selon ce rapport, le directeur Naryshkin, qui a pris la direction du SVR le 5 octobre, a été convié hier, aux bureaux du FBI de l'ambassade américaine à Moscou, pour examiner les enquêtes en cours liées au terrorisme menées conjointement par la Fédération et les États-Unis. À son arrivée, il a été placé dans une salle de conférence dans laquelle des dossiers top-secrets liés au viol par Bill Clinton de cette fille étaient partout.
Resté seul pendant 45 minutes dans cette salle de conférence du FBI, le directeur Naryshkin a été en mesure d'examiner les dossiers, vidéos et documents relatifs à ce viol. Après quoi, le chef de la station locale de la CIA (nom expurgé) s'est présenté pour des introductions formelles.
En ce qui concerne les raisons pour lesquelles cette réunion extrêmement bizarre et inhabituelle a eu lieu, le rapport note que c'est dû au contre-coup d’état lancé publiquement cette semaine par lacommunauté de renseignement américaine contre le régime d'Obama et Hillary Clinton. D’ailleurs, le Président Poutine a confirmé la véracité de ce contre-coup après qu'il a été informé de cette action par l'ancien agent de la CIA et le diplomate américain Dr. Steve Pieczenik. VIDEO
La propagande médiatique d’Hillary Clinton, avec un assaut contre le directeur du FBI, James Comey, a été sans relâche. Cette propagande inclut le Washington Post qui questionnait si quelqu'un est capable de contrôler le FBI, ainsi que Politico appelant le FBI raciste parce qu'il ressemble à "l'Amérique de Trump", de même que le journal Londonien The Guardian qui, étonnamment, appelle tout le FBI "Trumpland".
Loin d'être le «Trumpland» que ces médias tentent de faire ressortir, le FBI , au contraire, s'est trouvé mêlé à une guerre réelle contre la Famille du Crime Clinton et contre la puissante organisation internationale de blanchiment d'argent connue sous le nom de la Fondation Clinton . Tous les deux ont tellement corrompu le gouvernement américain que la nation entière est maintenant en danger d’effondrement.
Concernant les témoignages de viol détenus par le FBI contre Bill Clinton, et que le FBI a permis au directeur Naryshkin de voir, il s’agit des notes d'entrevue concernant les filles mineures vivant dans la région d'Atlanta, mises en prostitution par Ghislaine Maxwell, Sarah Kellen et Nada Marcinkova. Toutes les trois recrutent des esclaves sexuelles mineures pour le milliardaire pédophile, l’agent du Mossad, Jeffery Epstein. Celui-ci les transfère ensuite sur son île privée des Caraïbes connue sous le nom de "Pedophile Island", sur laquelle il reçoit des gens célèbres (et passibles de chantage au profit d’Israël) tels que, justement, Hillary Clinton, l'ancien président Clinton et le prince Andrew.
Bill Clinton et Jeffery Epstein |
Comme nous l’avions indiqué dans précédent article, le SVR a identifié le «réseau de magasins de vêtements» (Clothing Shop Network), comme ét
Publicité
Publicité
Commentaires