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19 mai 2018

Comment la Hongrie a déjoué les ONG invasionnistes

hongrie-cloture-porte

Cenator : L’UE veut forcer la Hongrie à supprimer les zones de transit. Une révision du droit d’asile européen est en cours en concertation avec l'ONU, qui rendra les accords de Schengen caducs. Chaque réfugié pourra circuler où il veut, le regroupement familial sera facilité, les zones de transit supprimées, la distinction entre réfugié politique et économique sera abandonnée, les investissements en cours de langue seront augmentés.

**************

La Hongrie a érigé une clôture à sa frontière pour empêcher les envahisseurs non blancs d’entrer - et ça marche à merveille !

Il est bien connu que la Hongrie a érigé une clôture sur sa frontière, mais comment cela fonctionne-t-il vraiment pour empêcher les migrants d’entrer ? En fait, c’est une clôture à double couche, qui empêche presque totalement l’immigration illégale dans le pays. Le cadre juridique est simplement confondant.

La principale ruse de toutes les ONG financées par Soros est de faire constamment des procès. Aujourd’hui, la plupart des immigrants illégaux entrent légalement dans les pays de l’UE, mais il restent plus longtemps ou ne respectent pas les conditions du visa obtenu.

Lorsque les illégaux sont détenus dans l’attente d’un procès d’expulsion, les avocats employés par les ONG financées par le milliardaire George Soros disposent de fonds illimités pour plaider pour leur libération.

Les recours submergent les centres de détention, car plus la procédure d’expulsion est longue, moins il y a d’expulions possibles.

Si le centre de détention déborde, les autorités n’ont pas d’autre choix que de laisser les migrants à faible risque réintégrer la population, où disparaissent.

La solution géniale du gouvernement Orbán à ce problème est que la clôture n’est pas vraiment à la frontière, mais à quelques mètres de celle-ci. Il y a donc une bande de terre qui est légalement la Hongrie, avant que les migrants n’atteignent la clôture.

Dans certaines zones, la clôture frontalière s’enfonce profondément en territoire hongrois, créant de vastes zones de Hongrie à l’extérieur de la clôture. Ces zones sont appelées « zones de transit ».

Lorsqu’un migrant est pris à l’intérieur de la Hongrie, il est immédiatement transféré dans la zone de transit, par une de ses portes. Cet acte n’est pas une expulsion, mais une détention, car le migrant se trouve toujours en Hongrie.

Les avocats de ces ONG ne peuvent rien faire, puisqu’il n’y a pas de recours légaux disponibles puisqu’il n’y a pas eu décision d’expulsion.

Le migrant est libre d’aller à l’une des baraques installées dans ces zones, d’y déposer une demande d’asile et d’attendre l’issue de celle-ci, voire l’issue de l’appel si la demande a été rejetée.

L’important, c’est que, pendant que le migrant attend, il se trouve à l’extérieur de la clôture.

La zone n’a pas de clôture du côté de la frontière, si bien que les migrants sont libres d’en sortir, si c’est pour retourner d’où ils viennent. Cette mesure permet évidemment d’éviter le surpeuplement. La plupart des migrants n’attendent pas leur procès, mais retournent dans leur pays pour essayer de franchir la frontière quelque part où il est plus facile d’entrer dans l’UE.

Mais comme ils ne sont pas présents lors du procès, leur demande est rejetée.

Peu importe le temps qu’il faut pour qu’un migrant soit expulsé légalement de Hongrie, parce qu’il n’est jamais entré en Hongrie et n’a jamais surchargé l’État, puisque la plupart d’entre eux quittent la zone.

Source : Free West Media via Russia Insider

Traduction Cenator pour LesObservateurs.ch

 

sur : https://lesobservateurs.ch/2018/05/17/hongrie-a-dejoue-ong-invasionnistes/

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Commentaires
B
Très ingénieux ! Ce Soros commence à nous les piler menu !
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