25 janvier 2009
Quand le PS redore son blason d'opposant, par Jean-Michel Normand
(...)
L'efficace guérilla parlementaire des socialistes aura permis de suggérer que le PS peut s'intéresser à autre chose qu'à ses petites affaires internes.(...)
La présentation, le 21 janvier par Mme Aubry, de propositions économiques face à la crise confirme aussi le réveil d'un PS jusqu'alors aphone. En injectant 50 milliards dans l'économie, ce programme, bien que tardif, se différencie à plusieurs titres de celui du gouvernement. Par son ampleur, deux fois supérieure, ce qui lui permet de dépasser la masse critique (2 % du produit intérieur brut) préconisée par le Fonds monétaire international, un organisme qui n'est pourtant pas devenu socialiste depuis que Dominique Strauss-Kahn le dirige.
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