31 mars 2009
Rémunérations patronales : Bertrand raconte des bobards
(...) Là où l’Allemagne avait conditionné son aide aux banques de 500
milliards à divers mesures de sobriété en terme de rémunération
patronale (plafonnement, suspension des bonus, etc.), l’Etat français a
signé un chèque en blanc, se penchant seulement sur les conditions de
remboursement des prêts. Peut-être par peur que les patrons français
n’acceptent jamais ces contraintes. Contraintes auxquelles les patrons
allemands, acculés par leurs problèmes de trésorerie, ont bien vite
cédés.(...)
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