Le face à face tendu qui a eu lieu jeudi dernier entre Obama et Cheney
donne à penser que l’on est dans une situation ou "ça passe ou ça
casse". Repéré, formaté, instrumentalisé par le lobby, le président en
exercice, qui manifeste recul et sang froid n’est pas homme à supporter
longtemps d’être bridé comme il l’est, pas plus qu’il n’ignore qu’il
risque sa vie. Et il a maintenant eu tout le temps pour prendre la
mesure des pressions qui pèsent sur lui, organisées depuis longtemps,
et aucunement décidées à lâcher. Dans pareil contexte, ouvrir une
nouvelle enquête 9/11, en intégrant dans les modalités de constitution
et de direction de la nouvelle commission, la connaissance préalable
des attentats manifestée par les délits d’initiés qui les ont précédés
et par l’avertissement donné à la Société israélienne Odigo 2 heures
avant leur survenue, ainsi que l’explication par l’un des agents du
Mossad surpris à se filmer pendant la chute de la première tour de ce
qu’il voulait documenter l’évènement, et les révélations sur Madoff.
L’administration
précédente ne tolère pas que l’on révèle quoi que ce soit de ses
pratiques ni de ses violations de la loi, justifiées selon elle pas les
attentats. Ainsi, le clash
fut-il violent jeudi dernier entre un Dick Cheney manifestant
clairement la multiplicité de ses soutiens et le nouveau président,
loin d’être dépourvu de qualités, tout formaté qu’il fut par le lobby.
S’il
est clair que BHO n’est pas un sanguin, il est difficile de concevoir
qu’il ne mesure pas l’incapacité vers laquelle il se dirige en cas de
non réaction. Dans ce contexte accorder l’enquête 9/11 que tant de
professionnels demandent depuis si longtemps :
Petite revue de presse ( et de blogs ) dont les articles - parfois peu connus - d'ici et d'ailleurs sont parfois précédés d'un petit commentaire personnel.