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18 juillet 2009

LE PARTI SOCIALISTE ORPHELIN DE SEGOLENE ROYAL !

En voulant se payer la poire de Ségolène Royal, et surtout croyant que Martine Aubry serait leur faire-valoir, certains des éléphants qui se sont aussitôt désolidarisés de la première secrétaire du Parti socialiste (PS), n’arrêtent plus en silence, de vouloir sa perte. L’un d’eux, Bertrand Delanoë, vigile en chef du camp strausskahnien et aussi éternel lieutenant du loser de l’île de Ré, Lionel Jospin, était le premier à lancer des salves.

. Après avoir cru que Martine Aubry allait garder au chaud la place du chaud lapin de Washington, sans vilain jeu de mots, Dominique Strauss Kahn, celui qui risque de faire fuir toutes les stagiaires de l’Elysée s’il est élu président en 2012, ses partisans aussi, ne soutiennent plus Martine Aubry. En réalité, un voilage hypocrite fait de lui, après Jacques Chirac, le préféré des hommes politiques français. Etonnant pour une personne battue en plate couture récemment, par la dame du Poitou, dans les consultations internes du PS.

Quant à l’ancien lieutenant de Ségolène Royal, le virevoltant Manuel Valls, le plus ambitieux de tous en effet, son manque de charisme ne peut faire de lui, un héritier. Pire, on se demande vraiment s’il est encore de gauche. J’en doute. Néanmoins, sa réponse à Martine Aubry n’est pas dénuée de fondements dans la mesure où cette dernière a maladroitement rendue publique, la missive qu’elle a adressée au député-maire d’Evry.

Le lot de misère du PS sous la houlette de Martine Aubry ne fait plus aucun doute. Elle en est la cause principale. Sa tentative dès le départ, sous injonction des anti-Ségolène Royal, de ne pas intégrer ceux qui lui étaient proches, n’a fait que créer la fracture actuelle du parti. Il n’y a plus, au PS, de tronc, de branches, encore moins, l’humus. C’est ainsi. Pas que le parti soit voué à la fin ni aux gémonies mais, tout concoure à le croire.

C’est ainsi qu’à voir tous les salmigondis fait autour de la personne de Ségolène Royal entre le rappeur Orelsan, les déclarations, notamment celle de Dakar, ne laisse plus voir un espoir de déontologie et d’impartialité dans cette presse finalement au compte de l’Elysée. Finalement, comme elle l’aurait dit, le Parti socialiste allait être en mouvement avec Ségolène Royal. C’est indéniable, véridique et aujourd’hui, croire ou dire le contraire, serait mesquin, hypocrite et surtout ridicule.

Le Parti socialiste est orphelin pour le bonheur de l’UMP. Orphelin d’avoir voulu écarter sa mère nourricière, son must, sa muse, son égérie, son tout : Ségolène Royal. En revanche, tel n’est pas mon propos, le départ de Martine Aubry n’est pas envisageable. On ne peut changer de premier secrétaire tous les 6 mois. Après avoir cru que Martine Aubry allait garder au chaud la place du chaud lapin de Washington, sans vilain jeu de mots, Dominique Strauss Kahn, celui qui risque de faire fuir toutes les stagiaires de l’Elysée s’il est élu président en 2012, ses partisans aussi, ne soutiennent plus Martine Aubry. En réalité, un voilage hypocrite fait de lui, après Jacques Chirac, le préféré des hommes politiques français. Etonnant pour une personne battue en plate couture récemment, par la dame du Poitou, dans les consultations internes du PS.

Quant à l’ancien lieutenant de Ségolène Royal, le virevoltant Manuel Valls, le plus ambitieux de tous en effet, son manque de charisme ne peut faire de lui, un héritier. Pire, on se demande vraiment s’il est encore de gauche. J’en doute. Néanmoins, sa réponse à Martine Aubry n’est pas dénuée de fondements dans la mesure où cette dernière a maladroitement rendue publique, la missive qu’elle a adressée au député-maire d’Evry.

Le lot de misère du PS sous la houlette de Martine Aubry ne fait plus aucun doute. Elle en est la cause principale. Sa tentative dès le départ, sous injonction des anti-Ségolène Royal, de ne pas intégrer ceux qui lui étaient proches, n’a fait que créer la fracture actuelle du parti. Il n’y a plus, au PS, de tronc, de branches, encore moins, l’humus. C’est ainsi. Pas que le parti soit voué à la fin ni aux gémonies mais, tout concoure à le croire.

C’est ainsi qu’à voir tous les salmigondis fait autour de la personne de Ségolène Royal entre le rappeur Orelsan, les déclarations, notamment celle de Dakar, ne laisse plus voir un espoir de déontologie et d’impartialité dans cette presse finalement au compte de l’Elysée. Finalement, comme elle l’aurait dit, le Parti socialiste allait être en mouvement avec Ségolène Royal. C’est indéniable, véridique et aujourd’hui, croire ou dire le contraire, serait mesquin, hypocrite et surtout ridicule.

Allain Jules ans Le JDD

Mon commentaire: Un peu emphatique certes, mais l'essentiel des faits et des "dessous" du PS ces dernièrs mois s'y trouve...en particulier l'alliance objective de l'UMP et des éléphants du PS pour démolir Ségolène Royal la candidate choisie par les socialistes en novembre 2006, la secrétaire élue PS élue en novembre 2008 (mais ... fraude! ), tout cela pour perpétuer la collusion d'intérêts que certains ont dénoncée en parlant d'UMPS

 

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