Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Vu au MACROSCOPE
Visiteurs
Depuis la création 1 378 955
Newsletter
6 octobre 2009

UPPC sur Barack Obama, théâtre Dejezet (600 présents, et non 250)

Mardi  6 octobre 2009

Ségolène Royal à l'Université sur Barack Obama avec BHL

 

 

 

                                                              

      Ségolène Royal à l'Université sur Barack Obama avec BHL    

 

Bernard-Henri Levy lors de l'Université sur Barack Obama

 

 

                                                              

      Bernard-Henri Levy lors de l'Université sur Barack Obama    



Commentaire: Europe 1 et AFP on publié qu'il y avait 250 présents... En réalité, nous étions entre 500 et 600 ... le Théâtre a 400 places, et voici  une vidéo prise hier soir de la salle du Théatre Dejazet et qui montre clairement son remplissage :

 

                        °°°°°°°°°°°°°


    BHL rend un hommage appuyé à Ségolène Royal
(source: Le Figaro)

Nicolas Barotte - 06/10/2009

Bernard-Henri Lévy et Ségolène Royal, lundi soir au théâtre Dejazet, à Paris. Bernard-Henri Lévy et Ségolène Royal, lundi soir au théâtre Dejazet, à Paris. La présidente de Poitou-Charentes a débattu lundi soir avec le philosophe de la politique américaine. L'ex-candidate à l'Elysée en profite pour entretenir son carnet d'adresses d'intellectuels. Discrète, Ségolène Royal travaille dans son coin. En attendant que s'ouvrent les primaires pour 2012, probablement dès le lendemain des élections régionales, la présidente de Poitou-Charentes prépare le terrain. Tout d'abord, assurer sa réélection dans sa région, condition sine qua non à toute ambition. Ensuite, consolider sa base arrière, son association Désirs d'avenir, dont elle a pris la présidence. Enfin, enrichir le corpus intellectuel dont elle a manqué en 2007. Ségolène Royal ne laisse ce travail à personne. Elle décroche elle-même le téléphone pour joindre les intellectuels dont elle veut recueillir les avis : Jacques Attali, Régis Debray, Alain Touraine… L'ancienne candidate sait s'entourer. Le week-end dernier, elle participait à un colloque, organisé à Poitiers par le sociologue Edgar Morin, sur «la politique de civilisation». Lundi soir, elle a débattu, à Paris, avec Bernard-Henri Lévy sur le bilan de la politique de Barack Obama aux États-Unis, dans le cadre des «Universités populaires» que Désirs d'avenir organise. Les relations entre le philosophe et la socialiste s'étaient distendues depuis la présidentielle. BHL lui a rendu un hommage appuyé. «J'aimerais voir une gauche remodelée renouer avec certains de ceux que la politique désespère. Je les verrais bien se rassembler derrière Mme Royal», a-t-il expliqué. Campagne participative Parmi toutes les critiques formulées contre elle après la défaite à la présidentielle, l'une des plus dures portait sur le manque de travail de fond de Ségolène Royal. Depuis plus de deux ans, la présidente de Poitou-Charentes cherche à combler cette faiblesse. D'ailleurs, elle entretient son carnet d'adresses. «Elle se nourrit beaucoup», assure Jean-Louis Bianco, l'un de ses proches. «Elle n'a pas changé», assure l'un de ceux qui se sont éloignés d'elle durant les derniers mois. Ségolène Royal continue de travailler seule et de prendre ses décisions sans en avertir ses proches. Les réunions de son «conseil politique» tous les mardis lui permettent de recueillir les avis des uns et des autres mais sûrement pas de définir des positions en commun. Des rangs éclaircis Les rangs se sont éclaircis autour d'elle. Parmi les fidèles, on compte encore Delphine Batho, Guillaume Garot, Jean-Louis Bianco, Najat Belkacem ou Jean-Jack Queyranne. Le sénateur maire de Dijon, François Rebsamen, garde le contact, mais en revendiquant sa liberté. Beaucoup ont pris leurs distances. Les grands élus comme le maire de Lyon, Gérard Collomb, ou le président du conseil général des Bouches-du-Rhône, Jean-Noël Guérini. Mais aussi des figures nationales, comme Vincent Peillon, Manuel Valls ou Aurélie Filippetti. Même l'un des membres de sa garde rapprochée, Jean-Pierre Mignard, s'est éloigné : divergence sur le fond, au moment du retour de la polémique sur les fraudes au PS, en septembre. Mais aussi vexation inutile : il a appris par la presse qu'il n'était plus le président de Désirs d'avenir… Un isolement que Ségolène Royal a brièvement commenté hier soir : «Alors que quelques-uns prennent discrètement leur distance, Bernard-Henri Lévy fait partie de ceux qui ont décidé de rester fidèles, a-t-elle noté. Dans les moments difficiles, on ne peut s'empêcher de compter des vrais amis.»

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité
Vu au MACROSCOPE
Derniers commentaires
Archives
Publicité