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31 mai 2011

S. Royal sur Europe 1 le 31.5.11 (Vidéo et articles)

 

Royal : "J'ai subi beaucoup d'épreuves" par Europe1fr

 

Par Europe1.fr

Publié le 31 mai 2011 à 08h42 Mis à jour le 31 mai 2011 à 09h37

Interrogée mardi sur Europe 1 pour savoir qui elle rejoindrait en cas de duel Hollande-Aubry à la primaire socialiste, Ségolène Royal a souligné que ses "raisons personnelles n'ont rien à voir dans une stratégie présidentielle". "J'ai subi beaucoup d'épreuves mais je suis une femme politique déterminée, courageuse, honnête, engagée, qui fait ce qu'elle dit", a poursuivi la présidente de la région Poitou-Charentes.

"J'ai fait un effort considérable sur moi-même pour passer sur un certain nombres de choses, que ce soient les trahisons privées, les trahisons publiques, les problèmes de tricherie du Congrès (de Reims, ndlr) et tout le reste, j'ai surmonté tout cela", a-t-elle expliqué, n'excluant plus une réconciliation politique avec François Hollande.

 

 

Par Europe1.fr

Publié le 31 mai 2011 à 08h32 Mis à jour le 31 mai 2011 à 09h21

Invitée mardi sur Europe1, Ségolène Royal a estimé que la décision de la chancelière Angela Merkel de sortir l'Allemagne du nucléaire était "très audacieuse". "Je pense qu'elle a raison", a jugé la présidente de la région Poitou-Charentes, indiquant toutefois qu'il est "plus facile en Allemagne de faire ça".

Selon Ségolène Royal, sortir du nucléaire en France rélève d'une "décision politique, il n'y a aucun obstacle technique". "Mon choix, c'est que l'on peut sortir du nucléaire en 40 ans", a ambitionné la candidate à la primaire socialiste, selon qui, il faut se "fixer un objectif ferme pour que l'ensemble de la mutation énergétique et industrielle puisse se faire dans de bonnes conditions".

 

LE FIGARO

31/05/2011 | Mise à jour : 11:00  

Interrogée ce matin sur Europe 1, Ségolène Royal a ouvert la porte à une réconciliation avec Martine Aubry et François Hollande. Elle explique avoir "subi beaucoup d'épreuves" lors de sa candidature en 2007. "J'ai fait un effort considérable sur moi-même pour passer sur un certain nombre de choses, que ce soient les trahisons privées ou les trahisons publiques, les problèmes de tricherie du congrès (de Reims, ndlr) et tout le reste... J'ai surmonté tout cela". "Je suis une femme politique déterminée, courageuse, honnête, engagée, qui fait ce qu'elle dit", a ajouté la présidente de la région Poitou-Charentes.

Candidate aux primaires PS pour 2012, Ségolène Royal a exprimé sa "conviction personnelle" que son ex-rivale Martine Aubry "hésite encore" à se lancer dans la course à la présidentielle. "Je pense que lorsque l'on s'est préparé à être candidat à l'élection présidentielle, il n'y a aucune raison de le cacher, et donc ma conviction personnelle c'est qu'elle hésite encore et c'est normal", a déclaré sur Europe 1 Mme Royal, interrogée sur l'éventuelle candidature de la première secrétaire du PS.

Estimant qu'"il y a beaucoup de pression autour d'elle de personnes qui la poussent" à se présenter, l'ex-candidate à l'Elysée a demandé qu'on laisse à Martine Aubry un "temps de réflexion parce que ça n'est pas une décision anodine, c'est l'engagement de toute une vie" de briguer la présidence de la République. "Ca n'est pas rien de décider une candidature à l'élection présidentielle, c'est un engagement total, c'est un état d'esprit psychologique", a fait valoir Mme Royal.  "C'est très dur, c'est un engagement, c'est une réflexion de longue date, c'est une préparation, il faut faire un effort considérable d'abord sur soi-même", a-t-elle poursuivi.

Selon elle, pour les primaires en vue de 2012, "le PS doit donner un exemple tout à fait irréprochable" avec des règles d'organisation "tout à fait transparentes".
"Pour l'instant, on est un peu dans un entre-deux, dans un flou et je crois que les choses doivent maintenant se mettre rapidement en place", a-t-elle dit, réaffirmant son souhait d'une direction collégiale à la tête du parti pour remplacer la première secrétaire Martine Aubry si celle-ci était candidate.

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