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17 janvier 2013

Mali : François Hollande est un menteur. Les islamistes sont les pantins du Qatar, membre de la Franceàfric-Francophonie

Sur MEDIAPART

Hollande est intervenu parce ses agents d'espionnage fascistes
ont compris, à Bamako, que la gauche malienne allait relever
trois défis. Le premier étant de construire une mobilisation
 populaire efficace.Le deuxième de pousser l'armée malienne
 à agir efficacement et rapidement - ce fut le cas à Konna.
Et le troisième allait être de commencer la construction
d'un pouvoir du peuple sans ces élections truquées.
C'est cela la raison de l'intervention direct de
la Franceàfric militaire.Et rien d'autre !
(conclusion de cet article)

"Cette résolution autorise le déploiement d’une
force africaine au Mali pour permettre au pays de recouvrer
 son intégrité territoriale par la reconquête du Nord,
tombé aux mains des narco-terroristes et en proie à
des fondamentalistes.  (...) L’opération sera conduite avec
des troupes combattantes exclusivement africaines et
 une forte mobilisation de l’Union européenne
sur les plans financier et logistique".
Mali - Adoption de la résolution 2085
par le Conseil de sécurité (21 décembre 2012)

 

 LIRE AUSSI : Agression impérialiste contre le Mali : 14 faits occultés par les médias aux ordres (un article du 28/9/2012 sur B#Revactu)

Toute la Franceàfric politique, au garde-à-vous soutient l'invasion militaire du Mali.
Sous couvert d'une résolution proposée par une dictature - le Togo - dont le peuple est dans les rues depuis 3 jours, à manifester pour le 50° anniversaire du "crime fondateur", il s'agit bel et bien d'une invasion d'un pays souverain.
Les pantins islamofascistes ont été financés par l'agence de mercenaire Franceàfric Qatar - dont le Canard Enchaîné vient de nous révéler qu'elle a été intégré à vitesse supersonique au sein de la "Francophonie".
Au moment où la COPAM, le MP22 et toute la gauche malienne ont fait pression sur leur armée pour lancer la contre-offensive, les pantins islamofascistes ont mené, eux, une contre-contre offensive sur la ville de Konna.
Pourquoi ?
Mais tout simplement pour fournir le prétexte nécessaire aux forces spéciales fascistes françaises pour envahir la ville de Sévaré !
Il ne fallait surtout pas que l'armée malienne puisse apparaitre comme capable de résister seule à l'offensive fasciste.
Un nouveau mensonge de plus !
Mais, depuis le début de cette opération d'invasion du pays, tout est faux, tout est truqué.
Il s'agit d'un complot gigantesque.
Un complot, dont le financement des quartiers pauvres de France par la Qatar, montrera un jour qu'il s'agit d'une maneuvre mondiale, un coup d'état fasciste de la bancocratie avec l'aide de ses mercenaires islamofascistes.
En voici les récentes étapes

JANVIER 2012 LE QATAR ATTAQUE LE MALI

Sarkozy a demandé à l'émir du Qatar de fabriquer Ançar Eddine pour attaquer le Nord-Mali.
Dans quel but ?
Economique ?
Evidemment, toujours ! Mais c'est toujours aussi secondaire. Les mobiles politiques sont toujours les premiers : il s'agissait de FABRIQUER un PRETEXTE pour ENVAHIR BAMAKO.
Quatre mensonges principaux
1° mensonge
Ançar Eddine a attaqué en janvier 2012. A Aguel Hoc.
Une attaque coordonnée au téléphone satellitaire Turaya par le président du Mali - lui-même - Amadou Toumani Touré dit ATT.
La première attaque a été repoussée par le leader du syndicat des étudiants maliens Sékou Traoré. Ce militant de la gauche progressiste malienne était devenu militaire et capitaine dans l'armée malienne.
C'est en recevant un appel du président de la république - il appelait ses complices Ançar Eddine - MNLA sur le téléphone satellitaire Thuraya - que le capitaine Traoré a découvert ce complot.
Le résultat a été simple : les comploteurs ont organisé des embuscades contre les troupes maliennes arrivant en renfort à Aguel Hoc (ce n'était pas compliqué : ATT pouvait informer ses complices directement).

La ville d’Aguelhok est contrôlée par le groupe armé islamiste Ansar DineL’ami d’un capitaine se souvient. Il y a beaucoup de non-dits dans le massacre d’Aguel-Hoc qui a vu l’assassinat froid de 118 soldats de l’armée malienne sur place par les éléments du MNLA, en a fait partie le commandant de l’unité méhariste de la localité, le capitaine Sékou Traoré dit Bad, ancien leader estudiantin.

Lui avait vu la mort venir, mais a préféré la défense de la patrie. Ce snipper hors pair victime d’un complot d’Etat de la part d’ATT, a confié ceci à son ami  avant de mourir : « ce pays va fonctionner comme ça, mais si nous voulons, c’est à nous de changer l’ordre des choses. Restez ici,  je viendrai vous chercher » et fait référence avec sa conversation avec le général ATT sur le téléphone satellitaire des rebelles. 

Neuf mois après le massacre d’Aguel-Hoc, un enseignant rescapé,  Adama Sissoko, ami inséparable et confident du capitaine Sékou Traoré dit Bad, commandant de l’unité méhariste d’Aguel-Hoc, parle et revient sur les dernières heures du capitaine Traoré qui a défendu sa patrie au prix de son sang. Lisez plutôt le récit de ce rescapé.

Sur cette histoire très récente, les gens laissent circuler beaucoup de rumeurs. Il ya eu deux attaques à Aguel-Hoc, celle du 18 janvier et celle du 24 janvier 2012. Ces attaques ont été commanditées par les éléments déserteurs de l’armée avec le soutien des éléments d’Aqmi avec d’autres complicités non identifiées qui donnaient la position de l’armée aux bandits armés. La preuve, un élément de la garde nationale promotion 2007, avait tenté de saboter en mettant des bâtons dans  les obus du 12-7 qui se trouvait au portail du camp, le jour même de l’attaque du 18 janvier 2012.

Ce mercredi la ville a été attaquée très tôt le matin, les tirs sporadiques retentissaient, c’était à 10 heures que les choses ont pris une tournure inquiétante ; les éléments du capitaine ont mis en déroute les assaillants. Dans la nuit du 18 au 19 janvier, moi-même, j’ai personnellement dénombré plus de sept cent corps, je le dit officiellement. Ce que les gens ne savent pas et que le capitaine m’a confié est que ce jour là, vers 22 heures, la position des deux principaux cerveaux de l’attaque, à savoir un certain Abdallah Gamal et Assadeg Ag, un ancien élu à l’assemblée régionale de Kidal,  a été donnée au commandant du camp Sékou Traoré  par un agent de renseignements basé à Sévaré qui était un intime à Sekou.  Leur véhiculé fut pourchassé par un hélicoptère  de l’armée malienne avec à son bord le capitaine lui-même, les deux fugitifs seront appréhendés vers Taoudenni et ramenés au camp d’Aguel-Hoc. Après leurs  auditions et les informations extorquées, ils ont été ramenés derrière le camp et les éléments sont retournés bredouille. En terme clair ils ont été exécutés.

Coup de fil de ATT

Leur téléphone satellitaire communément appelé Thuraya  est resté dans le bureau du capitaine. C’est dans la journée du 20 janvier au matin que le téléphone satellitaire extorqué  aux chefs rebelles a sonné, au bout du fil c’était  le Président ATT qui appelait, mais tombe sur le capitaine Traoré. C’est ce coup de fil gênant qui est à la base du massacre d’Aguel-Hoc du 24 janvier.

Ce coup de fil dont mon ami, le capitaine, m’a fait écouter dans la cour PC ou toutes communications sont enregistrées sur une unité centrale. Dans cette conversation on entendait le président ATT se présenter et dire : « Allô !  Il ya quoi chez-vous ? Il ya quoi chez-vous ?». Subitement le capitaine, pris de  panique ou habité par la colère ou l’effet de surprise, se présente en ces termes : «vous vous trompez mon général. C’est le capitaine Sekou Traoré, commandant de l’unité méhariste d’Aguel-Hoc ». Bien entendu ATT a racroché brusquement et brutalement. C’est cette connivence du chef suprême des armées avec l’ennemi que le capitaine n’a pas du tout compris.

Ce témoignage provenant de ce site malien a été repris dans l'article d'hommage mardi 18 décembre 2012 Un premier hommage au capitaine Sékou Traoré. Il sera au panthéon des héros de la libération de l'Afrique. Victime et résistant contre l'attaque Sarkozy-Hollande-Qatar-Ancar Eddine contre le Mali, contre l'Afrique


Bad et ses hommes ont préférés la mort plutôt qu’à l’abandon d’une partie du territoire national.


Vous êtes de vrais héros, vous êtes morts pour une cause noble.


2° mensonge
Ce que les médias ne vous disent pas non plus, c'est que le coup d'Etat qui s'est produit deux mois plus tard avait pour fonction principale de mettre hors d'état de nuire ce comploteur Franceàfric ATT.
Le capitaine Sanogo ne fut que celui que les militaires patriotes poussèrent sous les projecteurs.
Mais celui-ci avait raison en se comparant au général de Gaulle : ATT et toute la clique de présidents et de 1° ministre qui s'ensuivirent sous la pression de la CEDEAO n'étaient que des Pétain et de Laval que la France et les USA imposèrent à ce malheureux pays.
Même le Wikipédia est pudiquement silencieux sur cet aspect des choses : le fait que le comploteur numéro était le président lui-même
L'armée malienne est engagée depuis le 17 janvier 2012 dans une guerre dans le Nord du pays contre les rebelles touaregs du Mouvement national pour la libération de l'Azawad et contre les djihadistes de l'Ançar Dine. L'armée subit plusieurs revers, elle souffre d'un manque de moyens par rapport aux Touaregs qui bénéficient d'un important matériel et d'armes lourdes récupérées suite à la chute de Kadhafi en 20113. Le moral des troupes est au plus bas, les officiers supérieurs sont soupçonnés de népotisme, de favoritisme et de corruption, de détourner l'argent destiné à l'équipement militaire4 alors que le salaire d'un soldat de base est de 40 000 francs CFA (60 euros) par mois5. Fin janvier et début février, des manifestations de femmes de militaires réclament des « munitions pour leurs hommes »6,7. À un mois d'échéance des élections présidentielles, l'autorité du président de la république Amadou Toumani Touré qui a annoncé qu'il ne se représenterait pas est remise en cause8.(Coup d'État militaire de 2012 au Mali)

Voilà comment les événements commencèrent :

Les sources s'accordent à dire que le coup d'État n'a pas été préparé à l'avance mais est le fruit d'une escalade d'évènements5. Le 21 mars, Sadio Gassama, ministre de la Défense et des anciens combattants, et le général Gabriel Poudiougou, chef d'état-major général des armées, se rendent au camp militaire Soundiata Keïta à Kati pour évoquer l’évolution de la situation au Nord-Mali. Ils sont pris à parti par des militaires mécontents, essuient des jets de pierre, leurs gardes du corps tirent en l'air pour pouvoir s'enfuir9.

Les militaires en colère se dirigent alors vers l'armurerie et font mains basses sur armes et munitions. Ils s'emparent des quatre automitrailleuses BRDM-2 et des deux transports de troupe BTR-60 stationnés à Kati puis partent vers la capitale. À 15h30, ils attaquent la présidence : les bérets rouges, parachutistes qui forment la garde d'Amadou Toumani Touré résistent jusque vers 21h où l'enceinte du palais est forcée : les mutins ne peuvent mettre la main sur le président qui a été exfiltré vers 18h, les bâtiments sont alors pillés et partiellement incendiés5,10,6. En fin d’après-midi, une centaine d'hommes investissent le bâtiment de l’Office de la radio-télévision malienne (ORTM) au centre de Bamako. La radio nationale suspend ses programmes11.

En soirée, une mutinerie éclate également à Gao, siège du commandement des opérations militaires contre les rebelles du Nord, des officiers loyalistes sont emprisonnés9,12. Les soldats envoyés au Nord se plaignent des « évacuations préventives » des camps militaires présentées par le gouvernement comme « une stratégie de protection » de la population civile.

.... Et, à cette époque, la totalité des activités criminelles en faveur de Ançar Eddine commises par ATT n'était pas encore connues.

3° mensonge
Ce que les médias cachent aussi soigneusement, c'est la façon dont les islamofascistes eurent tout le temps nécessaire pour s'organiser sans que l'armée puisse riposter.
La mesure la plus simple, ce fut le blocage (principalement dans le port de Conakry) des armes que l'armée malienne avait commandées pour mener sa contre-offensive.
Qui bloquait ces armes ?
Mais toute la Franceàfric !!!
CEDEAO, Ouattara, Yayi Boni, Compaoré.... TOUS REFUSAIENT que l'armée malienne puisse avoir de quoi RIPOSTER aux fascistes.
Le 7 septembre, RFI se faisait l'écho de cette attitude
Les armes destinées au Mali toujours bloquées en Guinée par la Cédéao Conakry, Guinée.Par RFI

Les militaires maliens sont en colère contre la Cédéao. L'organisation régionale bloque depuis des semaines une livraison d'armes lourdes achetées par l'Etat malien sous Amadou Toumani Touré ou depuis le coup d'Etat. Ainsi, des blindés, des munitions, sont bloqués dans plusieurs ports de la sous-région, notamment Conakry. Depuis une semaine, quatre émissaires de l'armée malienne et une délégation de la Cédéao sont à Conakry pour tenter de déméler cette affaire.

Cette commande d’armement lourd par les autorités maliennes d’alors, qui date de l’année dernière, est arrivée le 27 juillet dernier à Conakry, à bord d’un bateau battant pavillon turc, en provenance de la Bulgarie.

Mais, parce qu’entre temps le pouvoir avait changé de main à Bamako, les autorités guinéennes, très prudentes en la matière, se sont référées à la Cédéao, l’Organisation économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest, à laquelle les deux pays appartiennent. C’était surtout pour prendre les instructions de ce qu’il fallait faire de ce colis, dont le vrai contenu n’était pas encore connu.

Le ministre guinéen de la Défense, Maître Abdoul Kabèlè Camara : « Ce sont plusieurs containers qui se trouvent dans ce navire, contenant des armes, commandées depuis l’ancien président ATT. Donc, dans l’intérêt de la République du Mali et de tous les pays membres de la Cédéao – et une délégation de la Cédéao, d’ailleurs, vient d’arriver – nous allons procéder à l’inventaire de ces containers ».

Le départ forcé de l’ancien général président malien Toumani Touré et la prise du pouvoir par une junte dirigée par le capitaine Amadou Sanogo, et surtout l’annexion du nord du Mali par les islamistes, étaient-ils suffisamment inquiétants pour Conakry, qui a jugé utile de retenir ces containers au port de Conakry ? « Non !... Aucune inquiétude ! Mais imaginez si on avait laissé ces containers… Ils seraient tombés entre les mains de qui ? Nous nous sommes conformés aux directives de la Cédéao », explique Maître Abdoul Kabèlè Camara.

On remarquera que une partie de la commande..... a disparu des écrans radar de RFI. Le journal Waat, cité par Maliactu parlait aussi d'hélicoptères.
Ce n’est pas tout. Il semble que la livraison des deux hélicos serait également compromise. Ces appareils avaient été achetés en Ukraine. Mais le coup d’Etat a interrompu le processus de livraison.(Maliactu.net)

Quand on est le haut-parleur des troupes d'invasion, on ne peut pas laisser supposer que des Africains pourraient piloter des hélicoptères !!
Et combattre eux mêmes les fascistes !!!


4° mensonge
On vous présente en vrac "les islamistes"....
Mais les médias oublient de vous signaler que la première attaque fut menée conjointement par le MNLA et Ançar Eddine sans qu'il soit même possible de distinguer qui était qui.
Mais les médias oublient de vous signaler que le MNLA était reçu en grandes pompes il y a quelques jours par le Nigéria (dont les troupes envahissent maintenant le Mali)
Mais les médias oublient de vous signaler que ce groupe avait été protégé et hébergé par l'assassin Compaoré, au Burkina Faso.
Et que , ce même MNLA venait de signer un accord avec le groupe Ançar Eddine.
Alger (sous les ordres du général de l'AFRICOM des USA) venait d'organiser cette alliance entre les gentils coupeurs de mains (Ançar Eddine et MNLA) contre les méchants coupeurs de mains (MUJAO - AQMI)
Par quel mystère, les gentils coupeurs de mains sont-ils devenus - à nouveau - de "méchants coupeurs de mains"..... les médias ne vous l'expliqueront pas !!!
Le 1° octobre dernier, le journal algérien, El Watan rapportait les propos du général commandant l'AFRICOM.

Carter Ham n’a pas voulu trancher la question, laissant entendre que le mouvement islamiste Ançar Eddine, qui a érigé un émirat au Nord, pourrait tout à fait être un partenaire des tractations.

Le commandant de l’Africom Carter Ham«La solution au Mali ne peut être que politique et diplomatique»

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le 01/10/2012 | 10:00

 

Les Etats-Unis privilégient pour l’instant la solution politique qui passe par «un gouvernement légitime à Bamako» et un «dialogue avec les groupes du Nord» qui n’ont pas versé dans le terrorisme, sans pour autant fermer totalement la porte à une action armée.

Entre les Etats-Unis et l’Algérie, c’est l’union parfaite ou presque, s’agissant de la crise malienne. Le commandant en chef de l’Africom (commandement des forces armées américaines en Afrique) le général Carter F. Ham, ne s’est en tout cas pas encombré de formules sibyllines pour suggérer la bonne appréciation américaine de l’approche algérienne de règlement de la grave crise au Mali. «Je ne suis pas ici pour discuter de notre présence militaire au Mali, mais pour encourager le dialogue à l’intérieur de ce pays et avec les pays voisins pour le rétablissement de la stabilité à Bamako», glisse, d’entrée, Carter Ham dans la conférence de presse qu’il a animée hier au siège de la chancellerie américaine. Mais auparavant, le général s’est fendu d’une petite déclaration d’amour en soulignant que c’est «avec plaisir que je retrouve l’Algérie, un beau pays et un peuple hospitalier».

Il a aussi pris le soin de «remercier l’Algérie d’avoir renforcé la sécurité autour de notre ambassade ici à Alger après ce qui s’est passé en Libye».  Le «décor» est donc planté pour une plaidoirie, certes d’un militaire, qui épouse globalement l’approche algérienne du règlement de la crise malienne. A travers ses réponses, le commandant de l’Africom a clairement laissé entendre que l’option militaire tant souhaitée par la France est écartée du moins à l’état actuel des choses. Les Etats-Unis sont, a-t-il dit, en train de «s’informer auprès des pays voisins du Mali» pour essayer de comprendre et saisir les enjeux. «Je suis ici pour comprendre et distinguer entre un groupe terroriste et un autre qui ne l’est pas (…). On essaye de comprendre quel est le rôle du Mujao, du MNLA et d’Ançar Eddine», affirme le général.
Solution militaire ? Pas chaud le général
La situation est-elle à ce point confuse ? «Oui, la situation est très compliquée au Mali (…) C’est pourquoi nous pensons que la solution ne peut être que politique et diplomatique.» Voilà qui met l’Algérie et les Etats-Unis sur la même longueur d’onde.
Quid de la position que prendrait son pays si jamais la France, à la demande de la Cédéao, proposait une résolution en faveur d’une intervention armée ? «C’est une question politique à laquelle un général ne pourra pas répondre», lance Carter Ham. Il a cependant concédé vaguement qu’«on ne sait pas encore, il n’y a pas de détails concrets concernant cette question, par ce que comme vous le savez, les Etats-Unis et l’Algérie ne sont pas membres de la Cédéao».  Pour autant, «s’il y a une demande d’intervention militaire, les Etats-Unis   étudieraient la question au Conseil de sécurité». Le général de l’Africom est en revanche formel : «Il n’y aura pas de soldats américains sur le sol malien.»
Une situation compliquée
Comprendre que les Etats-Unis privilégient pour l’instant la solution politique qui passe par «un gouvernement légitime à Bamako» et un «dialogue avec les groupes du Nord» qui n’ont pas versé dans le terrorisme, sans pour autant fermer totalement la porte à une action armée. «Il y a un aspect militaire qui fera partie d’un plan global dans la résolution de ce conflit», a expliqué Carter Ham. Plus explicite, le général a estimé qu’en raison de la présence de groupes terroristes dans la région «une aide militaire peut être requise». Mais il va falloir d’abord séparer le groupe terrorisme de celui qui ne l’est pas. Et les Etats-Unis ne savent pas trop – ou font-ils semblant ? – qui faudrait-il combattre du Mujao, du MNLA et du Ançar Eddine. «L’un des aspects-clés dans la résolution de la crise malienne, c’est de faire la distinction entre les groupes armés dans cette région et définir ceux qui sont terroristes et ceux qui ne le sont pas.» 

Carter Ham n’a pas voulu trancher la question, laissant entendre que le mouvement islamiste Ançar Eddine, qui a érigé un émirat au Nord, pourrait tout à fait être un partenaire des tractations. Ceci, bien qu’il ait pris le soin de préciser qu’il n’est pas question de dialoguer avec les terroristes. Un point sur lequel les courbes algériennes et américaines pourraient se croiser puisque des émissaires de ce mouvement ont pu dialoguer récemment avec les autres groupes du Mali à Alger d’après des sources concordantes. C’est dire que les Américains tablent prioritairement sur la solution politique qui passe d’abord par le rétablissement d’un gouvernement légitime à Bamako, la prise en charge des besoins des populations du Nord, l’aide humanitaire et enfin la lutte contre les terroristes. Des travaux d’Hercule qui ont fait dire au général Carter Ham que la situation au Mali «est compliquée». La solution aussi.

Hassan Moali

TOUT CELA N'AVAIT QU'UN SEUL BUT : PERMETTRE L'OCCUPATION MILITAIRE DE BAMAKO.
Pendant trois mois, en effet, le Conseil de Sécurité était occupé à une seule et unique chose : justifier le fait que les troupes d'invasion allaient occuper la capitale et non pas la ligne de front.
C'est d'ailleurs l'exact contenu de la résolution 2085 du conseil de sécurité ONU : occuper la capitale et ORGANISER des ELECTIONS TRUQUEES....
L'observateur honnête aura aussi remarqué que cette proposition fut faite par le tyran du Togo Faure Gnassingbé !
Quoi de plus normal que de proposer une invasion impérialiste du Mali quand on matraque son propre peuple dans les rues de Lomé.
Mais, cette info, les médias oublient de vous la donner !

Les 104 lecteurs de Médiapart qui avaient recommandé cet article, eux, savaient
ONU-MISMA VS peuple malien : Après Abidjan, c'est Bamako. La 4° guerre contre l'Afrique est commencée 21 décembre 2012 Par Yanick Toutain


Comme étaient aussi informés les 44 personnes qui avaient recommandé

Mali : une autre vérité : La Franceàfric coordonnait les deux attaques. Ançar Eddine contre le nord et CEDEAO contre Bamako 20 décembre 2012 Par Yanick Toutain

EN CONCLUSION : on voyait hier, au Malin, les forces pro-Franceàfric avouer ouvertement quels étaient leurs mobiles : ils sont plus occupés - à Bamako - lutter contre la gauche du pays qu'à résister aux saboteurs pro-islamistes.

Alors que la coalition jihadiste composée d’AQMI, d’Ansar Eddine, du MUJAO et de Boko Haram multiplie les provocations  et menace de marcher sur des villes du sud du pays une coalition hétéroclite de partis politiques et de groupes extrémistes a choisi d’organiser des manifestations violentes à Bamako et Kati  dans le dessein de déstabiliser la transition et le pays, et de créer les conditions d’un second coup d’Etat militaire « .

C’est par ces mots que le Front du refus du coup d’Etat du 22 mars a, dans un communiqué rendu public le mercredi soir, haussé le ton contre les remous qui ont perturbé ces derniers jours, les villes de Bamako et Kati. Des manifestations de protestation émanant des organisations pro-putsch et exigeant la démission du président intérimaire, Pr Dioncounda Traoré et la tenue immédiate des concertations nationales.

Pour le vice-président Iba N’Diaye et ses amis du front anti-putsch, alors que la situation au Nord exige davantage de cohésion nationale et l’union sacrée de tous autour des forces de défense et de sécurité, la coalition du 8 janvier- coalition formée par des organisations pro-putsch comme la COPAM, Yèrèwoloton, MP 22, ADR- tire au flanc du pays en exigeant la tenue immédiate d’une concertation nationale souveraine dont l’objectif clairement affiché est de renverser la Constitution et les institutions républicaines.

 » En ces heures graves où l’existence même de la nation est menacée, il est clair que l’objectif des tenants des  concertations n’est pas la tenue d’assises inclusives, mais plutôt l’instauration d’un régime d’exception qui plongera le Mali dans le chaos et l’anarchie », fustigent les frontistes. Ils « condamnent énergiquement les manifestations violentes » qui ont eu lieu à Bamako et Kati le  9 janvier 2013. Des manifestations qui se sont, selon certaines sources, poursuivies hier jeudi 10 janvier dans la capitale malienne.

Le FDR dénonce ce qu’il qualifie d’instrumentalisation des scolaires. Ce qui a poussé le Gouvernement à décréter la fermeture de tous les établissements scolaires à Bamako et à Kati. Une école malienne qui, il faut le dire, est depuis plusieurs années dans l’abîme le plus sombre dans la mesure où les zones occupées, mais aussi Mopti et certaines contrées voisines n’ont quasiment plus ouvert les classes depuis déjà un bon moment. Toute chose qui pousse certains observateurs à plaider pour une fermeture totale de toutes les écoles sur toute l’étendue du territoire national.

C'est CELA la clé de la situation ! Hollande est intervenu parce ses agents d'espionnage fascistes ont compris, à Bamako, que la gauche malienne allait relever trois défis.
Le premier étant de construire une mobilisation populaire efficace. Le deuxième de pousser l'armée malienne à agir efficacement et rapidement - ce fut le cas. Et le troisième allait être de commencer la construction d'un pouvoir du peuple sans ces élections truquées.
C'est cela la raison de l'intervention direct de la Franceàfric militaire. Et rien d'autre !

 

lire aussi

Agression impérialiste contre le Mali : 14 faits occultés par les médias aux ordres

Posted on 28 septembre 2012

1

Tous les commentaires

Merci .

Je copie colle ici un commentaire de Bénédicte Chartier.
Elle confirme les conclusions de mon article.
(c'est en le partageant sur Facebook qu'elle a eu l'idée de se (re) manifester en MP.)
Elle n'est pas inscrite sur Médiapart......
Mais c'est un bon début. Pour son futur blog (sur Médiapart !)
Voici son commentaire (avec l'article dont elle signale l'existence)
Sa source est Agenzia Fides "Organe d'information des Oeuvres Pontificales Missionnaires depuis 1927"
posté avec son explicite accord !
+++++
" Je suis outrée de constater sur un groupe malien que 90% des intervenants se réjouissent de l'intervention étrangère. J'ai trouvé sur le site Fides un témoignage d'un prêtre d'où il semble bien ressortir que la situation militaire n'était nullement en défaveur de l'armée malienne lorsque la France s'est précipitée. L'Etat d'urgence tombe fort à propos pour museler les Sadi et autres ... "
http://www.fides.org/aree/news/newsdet.php?idnews=34624&lan=fra
+++++
2013-01-11
AFRIQUE/MALI - Combats furieux entre l’armée malienne et les rebelles
segnala invia articolo stampa imprimer stampa preferiti

Bamako (Agence Fides) - La ville de Konna, sise à 70 Km de Mopti (dans le centre du Mali) est au centre des combats entre l’armée malienne et les rebelles islamistes qui contrôlent le nord du pays. « Selon les dernières informations, les militaires maliens ont aujourd’hui contre-attaqué et reconquis Konna et avancent actuellement vers le nord occupé » déclare à l’Agence Fides le Père Edmond Dembele, Secrétaire général de la Conférence épiscopale du Mali.
« Les combats ont continué au cours de la journée d’hier et se sont intensifiés aujourd’hui. Nous avons des nouvelles parlant de différents morts et blessés sur les deux fronts. Dans un premier temps, avait été annoncé un avantage de l’armée malienne sur les rebelles. Puis, il avait été affirmé que la situation s’était renversée et que les rebelles avaient conquis Konna. Aujourd’hui, enfin, l’armée a contre-attaqué » déclare le prêtre. « Les militaires se trouvent surtout face aux hommes du MUJAO (Mouvement pour l’unité et la djihad en Afrique occidentale) et d’Ansar el Dine, appuyés par des membres d’AQMI (Al Qaeda au Maghreb islamique) et par des nigérians de Boko Haram. Toutes les composantes islamiques se sont unies au combat ».
Toujours hier, 10 janvier, ont eu pacifiquement lieu à Bamako les manifestations organisées par un certain nombre de partis qui appuient les militaires putschistes réclamant la démission du Président Dioncounda Traoré. « Aux manifestations, ont participé quelques centaines de personnes qui ont également exprimé leur opposition à une intervention militaire étrangère pour reconquérir le nord du pays, affirmant que l’armée malienne peut y parvenir sans aides extérieures » conclut le Père Dembele. (L.M.) (Agence Fides 11/01/2013)
++++

"Agenzia Fides - AFRIQUE/MALI - Combats furieux entre l’armée malienne et les rebelles

www.fides.org

Bamako (Agence Fides) - La ville de Konna, sise à 70 Km de Mopti (dans le centre du Mali) est au centre des combats entre l’armée malienne et les

L'article paru la veille était tout aussi passionnant.
On y voit des infos dont certaines étaient parues dans la presse malienne mais sur lesquelles une véritable chape de plomb fasciste a recouvert la totalité des médias français (et occidentaux) concernant le refus d'un très grand nombre de Maliens de voir arriver les impérialistes.
2013-01-10AFRIQUE/MALI - Nouveaux affrontements entre armée et rebelles alors que les manifestations se poursuivent dans la capitale

Bamako (Agence Fides) – « Nous savons que des affrontements ont eu lieu entre la nuit d’hier et les premières heures de la matinée d’aujourd’hui autour de la zone de Konna, entre l’armée et les rebelles mais les autorités n’ont pas donné d’informations précises sur le nombre de morts et de blessés » déclare à l’Agence Fides le Père Edmond Dembele, Secrétaire général de la Conférence épiscopale du Mali. Les affrontements ont eu lieu à Konna, à 70 Km au nord de Mopti, la ville du centre du Mali qui marque la limite entre les zones contrôlées par l’armées et par les rebelles qui, depuis mars 2012, ont conquis le nord du pays.
La situation demeure incertaine notamment parce que les négociations qui devaient se tenir au Burkina Faso entre les autorités de Bamako et deux des groupes rebelles du nord (Ansar el Dine et MNLA) ont été reportées.
A Bamako, en outre, la tension politique demeure élevée, indique le Père Dembele. « En ce moment, des manifestants affluent dans le centre de la ville pour continuer la protestation contre la suspension des concertations nationales, malgré les déploiements imposants de la police, de la gendarmerie et de l’armée destinés à empêcher de nouvelles manifestations » déclare le prêtre.
« Au cours des manifestations d’hier, ont été entendus des slogans réclamant la démission du Chef de l’Etat. A côté de ces protestations, ont cependant été organisées des manifestations de soutien aux forces armées » continue le Père Dembele. Suite aux manifestations qui impliquent également les étudiants, le gouvernement a décidé la fermeture de toutes les écoles et facultés de la capitale. (L.M.) (Agence Fides 10/01/2013)

Excellent ! Bravo, merci !

Ouhlala, il y a des imposteurs partout !

 

On. Ne. Nous. Dit. Pas. Tout !!!

Un appel au meurtre contre la gauche malienne sur le site Malijet

Guom il ya 28 minutes

Pendant que le pays se trouve en geurre contre les terrorstes, la copam destabilise la capitale, on dirait qu'ils sont de mèches aves les Djihadistes. Je crois que trop c'est trop, il faut les abattre pour que le pays ait la paix. Mariko, Younouss Ameye Dicko, Rokia Sanogo, Adama Traoré, le faux marabout de Nioro sont les Djihaidstes de Bko.Il faut les mettre de côté très rapidment

C'est le véritable but de toute cette opération hypocrite.

L'auteur de l'article lui-même dit exactement la même chose.....; avec des gants

COPAM-FPM-Jokoni Maya-IBK/Mali 2012 : Patriotisme sans conscience n’est que ruine…

Par Le Prétoire - Date: il ya 1 heure 5 réactions  

 

COPAM-FPM-Jokoni Maya-IBK/Mali 2012 : Patriotisme sans conscience n’est que ruine…

Tels Aqmi, le Mnla, Boko haram, Ansar dine et le Mujao, les organisations membres de la Coalition pour des concertations nationales immédiates souveraines menacent dangereusement la nation malienne, notamment dans sa cohésion.

 Les associations de gauche sont mises dans le même sac que les pantins coupeurs de mains de la Francophonie.

Les Maliens les savent insatiables pour ne pas dire des opposants endurcis. Les plus sévères vous diront même qu’ils sont aigris. Mais, personne ne pouvait s’imaginer que même dans un Mali en guerre, ces gens oseraient se prêter à leur sport favori: la dénonciation gratuite à travers des marches, des meetings et autres sit-in. Mais, ne dit-on pas que l’habitude est une seconde nature ?

Il ment effrontément : la guerre a été déclarée parce que, jeudi, le faux président a eu peur de cette mobilisation.

Ils, ce sont  les leaders de la tristement célèbre Coalition pro concertations immédiates, notamment le Dr Oumar Mariko, Pr Younouss Hamèye Dicko, Dr Adama Traoré, Pr Rokia Sanogo, Amadou Soulalé, Mamadou Boré et autres. Au nom d’un patriotisme que beaucoup de nos compatriotes s’efforcent encore de comprendre, ces patriotes d’un autre genre semblent aujourd’hui prêts à sacrifier leur propre pays pour arriver à leurs fins. Ainsi, plus aucun jour ne se passe pour qu’ils mènent des badauds en bateau vers des destinations qu’ils ignorent parce que dénués de tout esprit de discernement. Prions donc le Tout Puissant afin qu’il ait pitié de ces badauds car ils ne savent pas ce qu’ils font. Mais les plus éclairés parmi eux ont aujourd’hui déchanté, dès lors qu’ils se sont rendus à l’évidence que les agissements de leurs mentors n’apportent rien de constructif à une nation qui tente de se relever de la pire humiliation de son histoire. Même les forces armées et de sécurité maliennes pour lesquelles ils disent avoir pris fait et cause, doivent être mal à l’aise aujourd’hui de constater qu’au même moment ou des patriotes, les vrais, laissent la vie sur le champ de l’honneur et que le monde entier s’affaire au chevet du Mali en danger, il se trouve des Maliens qui se pavanent dans les rues de Bamako pour réclamer des assises dont l’urgence est discutable.

Calomnies et tentatives de diviser cette gauche et l'armée de résistance antifasciste.

Certes, les Maliens, majoritairement, nous le pensons, conviennent qu’à un moment ou à un autre il faudra bien que nous nous asseyions et que nous nous parlions pour repartir sur de bons pieds. Cependant, nul n’est besoin d’être diplômé de la Sorbonne pour comprendre que le moment ne s’y prête point. Pourquoi donc vouloir s’inscrire dans une logique de concertations ou rien, quand c’est l’existence même de la nation malienne qui est menacée ? Même le pire ennemi du Mali cogiterait plusieurs fois avant de se prêter à de tels comportements. Si c’est cela que Mariko et sa clique appellent patriotisme, nous estimons que leur patriotisme est dénué de toute conscience. Par conséquent, il dessert plutôt la nation malienne. La situation actuelle de notre pays nous commande que nous taisions nos égos, donc nos divergences, et que nous fassions bloc autour des institutions de la République et notre vaillante armée face à l’ennemi commun.

Il faut donc...... soutenir un gouvernement ..... illégitime !!

Mais, il n’y a que les leaders de la Coalition pour des concertations immédiates qui n’ont pas encore pris toute la mesure de la gravité de la situation que notre pays vit. C’est grave ! Sinon, même le camp d’en face dont les leaders étaient jusque-là considérés comme des apatrides en raison de leurs positions depuis les évènements de mars 2012, ont sursis toute revendication et proposer un appel à contribution en faveur de l’armée. Les inconditionnels des concertations se devaient d’assimiler cette leçon de morale qui vient de leur être donnée par le Fdr.

S’il est vrai que l’Histoire est témoin de nos faits et gestes, il y a lieu de craindre que les fils et les petits fils de ces messiers aient honte si un jour ils venaient à lire à travers les pages de l’histoire de notre pays que leurs ascendants ont délibérément choisi de saper les efforts du peuple auquel ils appartiennent pendant que celui-ci étaient en guerre. Plaise donc à Dieu que les tenants des concertations à tout pris rompent avec Satan car c’est le moment ou jamais. Malheur à celui qui croit pouvoir récolter à l’avenir des dividendes électoralistes en se confinant dans cette posture. Car le peuple malien n’est pas dupe. Il y a ainsi fort à parier que le Rpm d’Ibk, pour avoir pactisé avec Satan, court désormais le risque de dilapider le peu de côte d’estime qui lui restait auprès du peuple. Pire, le parti du tisserand se présente de nos jours, aux yeux de nombreux Maliens, comme une organisation volage et du coup il se trouve sur une mauvaise pente.

S’il n’y avait que des «patriotes » du genre des Oumar Mariko, avec le négativisme qui leur colle à la peau, la nation malienne aurait éclaté en lambeaux. Heureusement qu’il y a d’autres patriotes qui mouillent quotidiennement le maillot pour la cohésion de notre nation.

Bakary SOGODOGO  

Celui-là qui crache sur la vraie gauche malienne peut faire ses bagages : quand les nazis quittèrent la France, les collabos dans ce genre-là se dépéchèrent de partir dans les cartons de leurs maîtres !
S'il arrivait quoi que ce soit à la gauche, il serait inculpé de complicité de meurtre !

Le site Afrik.com confirme le fait que Hollande mentait !

Or, le Qatar est censé être un allié des puissances occidentales, notamment des Etats-Unis qui soutiennent l’intervention militaire française au Mali. Ce double jeu, s’il est formellement avéré, expliquerait pourquoi les jihadistes qui occupent depuis presque dix mois maintenant le Nord-Mali sont mieux formés et armés que prévu.
Les 949 lecteurs de Médiapart qui recommandé cet article le savaient : Mali : François Hollande est un menteur. Les islamistes sont les pantins du Qatar, membre de la Franceàfric-Francophonie
Le président de la République Franceàfric est contraint d'aller à Canossa demander à l'agence de mercenaires de ..... de quoi au fait ?
BRAVO SEBASTIEN BADIBANGA !!!

Hollande aux Emirats : « L’Arabie Saoudite et le Qatar sont accusés de soutenir des mouvements salafistes »

mardi 15 janvier 2013 / par Sébastien Badibanga

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La France a poursuivi ses frappes aériennes cette nuit aux environs de Diabaly, ville située à environ 400 km du Nord de Bamako. Alors que François Hollande est arrivé ce mardi à Abou Dhabi, aux Emirats arabes unis, pour une visite surtout consacrée à l’intervention militaire au Mali. Selon les spécialistes, ce déplacement est stratégique : il s’agirait pour le président français de discuter sur le rôle joué par le Qatar dans le financement des mouvements salafistes et terroristes présents au Nord-Mali. Décryptage.

 

Hollande, le chef des opérations. Le président français est arrivé ce mardi à Abou Dhabi, aux Emirats arabes unis. Un déplacement éminemment stratégique. Et pour cause, cette visite de François Hollande sera principalement consacrée à l’intervention militaire au Mali. Le Qatar devrait être au cœur des discussions.

Quels sont les enjeux de ce voyage officiel ? « Il y a d’abord un enjeu économique, beaucoup de projets sont en cours de négociation. Puis, l’enjeu stratégique : le Qatar joue un rôle lié aux forces (terroristes) présentes au Nord-Mali. S’il (François Hollande) est à Abou Dhabi c’est pour participer aux discussions concernant le rôle du Qatar dans le conflit au Nord-Mali », déclare à Afrik.com Philippe Hugon, chercheur à l’Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS). Et de préciser : « Il faut savoir que l’Arabie Saoudite et le Qatar sont accusés de soutenir des mouvements salafistes. Le Qatar est accusé de financer le Mujao (Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest) mais il n’y a aucune preuve. » « Ce qui est à peu près sûr, c’est que les organisations humanitaires et ONG liées à l’Etat du Qatar, sans que celui-ci montre sa responsabilité, financent des réseaux terroristes présents au Nord-Mali », ajoute le spécialiste du Mali.

Le double jeu du Qatar mis au jour

Selon des sources humanitaires concordantes, contactées par Afrik.com, le Qatar aurait des liens très puissants avec le Mujao. « Le pays du Golfe, connu pour sa richesse liée à l’exploitation du gaz, fournirait des armes et de l’argent au groupuscule terroriste, qui a notamment menacé la France d’organiser des attentats sur le sol français, pour acheter du matériel militaire ». Le Croissant-Rouge qatarien a contracté en août 2012 un accord avec la Croix-Rouge malienne. Le hic ? D’après nos informations, « le Croissant-Rouge qatarien agirait en lien étroit avec le Mujao à Gao ».

En juin 2012, Le Canard Enchaîné, le journal satirique français avait publié un article intitulé "Notre ami du Qatar" finance les islamistes du Mali, citant une source au sein de la Direction du renseignement militaire français (DRM) qui révélait que « Les insurgés du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), les mouvements Ansar Dine, Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et le Mouvement pour l’unicité et le djihad en Afrique de l’Ouest (Mujao) ont reçu une aide en dollars du Qatar. » A en croire les observateurs, le Qatar chercherait à devenir un acteur influent dans le Sahel.

Or, le Qatar est censé être un allié des puissances occidentales, notamment des Etats-Unis qui soutiennent l’intervention militaire française au Mali. Ce double jeu, s’il est formellement avéré, expliquerait pourquoi les jihadistes qui occupent depuis presque dix mois maintenant le Nord-Mali sont mieux formés et armés que prévu. D’où l’importance du déplacement de François Hollande à Abou Dhabi, pour inciter les pays du Golfe à agir.

 

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Commentaires
J
Restons en aux faits exposés qui seuls nous intéressent. Des remarques?
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A
C'est à se demander s'il vous arrive de lire ce que vous dupliquez à longueur de journée. Vous devriez vous renseigner un peu sur la personnalité plus dérangée que dérangeante de ce Mr Y** T***
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