Inéligibilité à vie : les députés disent "non" au gouvernement
C'était l'un des trois gros dossiers sur lequel le gouvernement comptait revenir à la charge. Mais dans la nuit du 19 juin, les députés lui ont refusé la peine d'inéligibilité définitive pour les élus corrompus.
En commission déjà, les parlementaires s'étaient opposés à la première version du projet de loi de François Hollande. Celle-ci proposait d'aller jusqu'à l'inéligilibité "à titre définitif" pour tout élu commettant une “infraction portant atteinte à la moralité publique comme la corruption, le trafic d’influence, la fraude électorale ou la fraude fiscale”.
Une ligne purement et simplement rayée par les députés dans la deuxième version du projet de loi, celle adoptée en commission.
Attaché à cette proposition, Alain Vidalies, ministre chargé des Relations avec le Parlement, a tenté de réintégrer la disposition lors de la discussion en séance le 19 juin, via un amendement du gouvernement. En vain. Ce sera donc dix ans d'inéligibilité maximum, comme l'avaient décidé les parlementaires en commission.
Le rejet s'est cependant fait de justesse, les députés de la majorité étant divisés sur le sujet. L'influent René Dosière a par exemple soutenu l'idée du gouvernement.
Objet du refus : l'inégibilité définitive n'est pas gage d'une réelle inéligibilité ... définitive. A ceux qui estimaient que les retours en politique de personnalités lourdement condamnées était inacceptable, Jean-Jacques Urvoas, le président socialiste de la commission des lois, a rétorqué que "même une peine complémentaire définitive peut être relevée dans le droit pénal" :
En droit français, des peines définitives ne sont pas à vie.
Les députés ont expliqué préférer dix années assurées d'exclusion de la vie politique plutôt que de se plier à la volonté gouvernementale.
Source : COMAGUER
Entre Hollywood et Disneyland, la propagande étasunienne vend du rêve aux enfants.
La dernière trouvaille de l’appareil idéologique de l’empire est d’utiliser le conte de JONATHAN SWIFT pour mobiliser l’opinion publique « humanitaire, bien pensante … » et particulièrement de gauche contre le régime syrien.
Bachar el Assad, le GULLIVER qui hante les insomnies de Laurent Fabius et de quelques autres, est tombé au sol ligoté par de braves lilliputiens qui bien entendu n’ont pas reçu un sou d’un donateur extérieur et ne sont armés que de pelles de pioches et de bonnes intentions.
A ceux qui s’étonneront de l’infantilisme de telles campagnes il convient de rappeler que la dirigeante actuelle d’AMNESTY INTERNATIONAL , si elle a pu garder des bons souvenirs de ses lectures enfantines, n’est pas une innocente en politique
SUZANNE NOSSEL, à la tête d’AMNESTY INTERNATIONAL depuis Janvier 2012, était employé auparavant par le Département d’Etat qu’elle représentait à Genève au Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU. Diplômée de Harvard elle s’est fait connaitre en publiant en 2004 dans la revue FOREIGN AFFAIRS un article sur le « SMART POWER ‘ (le « pouvoir intelligent »), concept qui a largement inspiré les actions d’Hillary Clinton pendant quatre ans
Selon SUZANNE NOSSEL Le « SMART POWER » consiste à détruire les défenses idéologiques de l’adversaire en lui démontrant son extrême infériorité économique et militaire avant de le détruire physiquement si nécessaire. C’est une combinaison adaptée à chaque situation de HARD POWER (bombes, missiles …) et de SOFT POWER (la diplomatie classique..). Entre HARD et SOFT on trouve, on le sait, une gamme extrêmement variée de sanctions, pressions, assassinats ciblés …
Inutile de préciser que SUZANNE NOSSEL est une avocate de longue date d’une attaque préventive de l’Iran et un soutien de la politique sioniste, positions qu’elle a défendues dans ses divers emplois précédents au WALL STREET JOURNAL, chez HUMAN RIGHTS WATCH à la FONDATION BERTELSMANN et chez MAC KINSEY.
Source : COMAGUER
Entre Hollywood et Disneyland, la propagande étasunienne vend du rêve aux enfants.
La dernière trouvaille de l’appareil idéologique de l’empire est d’utiliser le conte de JONATHAN SWIFT pour mobiliser l’opinion publique « humanitaire, bien pensante … » et particulièrement de gauche contre le régime syrien.
Bachar el Assad, le GULLIVER qui hante les insomnies de Laurent Fabius et de quelques autres, est tombé au sol ligoté par de braves lilliputiens qui bien entendu n’ont pas reçu un sou d’un donateur extérieur et ne sont armés que de pelles de pioches et de bonnes intentions.
A ceux qui s’étonneront de l’infantilisme de telles campagnes il convient de rappeler que la dirigeante actuelle d’AMNESTY INTERNATIONAL , si elle a pu garder des bons souvenirs de ses lectures enfantines, n’est pas une innocente en politique
SUZANNE NOSSEL, à la tête d’AMNESTY INTERNATIONAL depuis Janvier 2012, était employé auparavant par le Département d’Etat qu’elle représentait à Genève au Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU. Diplômée de Harvard elle s’est fait connaitre en publiant en 2004 dans la revue FOREIGN AFFAIRS un article sur le « SMART POWER ‘ (le « pouvoir intelligent »), concept qui a largement inspiré les actions d’Hillary Clinton pendant quatre ans
Selon SUZANNE NOSSEL Le « SMART POWER » consiste à détruire les défenses idéologiques de l’adversaire en lui démontrant son extrême infériorité économique et militaire avant de le détruire physiquement si nécessaire. C’est une combinaison adaptée à chaque situation de HARD POWER (bombes, missiles …) et de SOFT POWER (la diplomatie classique..). Entre HARD et SOFT on trouve, on le sait, une gamme extrêmement variée de sanctions, pressions, assassinats ciblés …
Inutile de préciser que SUZANNE NOSSEL est une avocate de longue date d’une attaque préventive de l’Iran et un soutien de la politique sioniste, positions qu’elle a défendues dans ses divers emplois précédents au WALL STREET JOURNAL, chez HUMAN RIGHTS WATCH à la FONDATION BERTELSMANN et chez MAC KINSEY.
Source : COMAGUER
Entre Hollywood et Disneyland, la propagande étasunienne vend du rêve aux enfants.
La dernière trouvaille de l’appareil idéologique de l’empire est d’utiliser le conte de JONATHAN SWIFT pour mobiliser l’opinion publique « humanitaire, bien pensante … » et particulièrement de gauche contre le régime syrien.
Bachar el Assad, le GULLIVER qui hante les insomnies de Laurent Fabius et de quelques autres, est tombé au sol ligoté par de braves lilliputiens qui bien entendu n’ont pas reçu un sou d’un donateur extérieur et ne sont armés que de pelles de pioches et de bonnes intentions.
A ceux qui s’étonneront de l’infantilisme de telles campagnes il convient de rappeler que la dirigeante actuelle d’AMNESTY INTERNATIONAL , si elle a pu garder des bons souvenirs de ses lectures enfantines, n’est pas une innocente en politique
SUZANNE NOSSEL, à la tête d’AMNESTY INTERNATIONAL depuis Janvier 2012, était employé auparavant par le Département d’Etat qu’elle représentait à Genève au Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU. Diplômée de Harvard elle s’est fait connaitre en publiant en 2004 dans la revue FOREIGN AFFAIRS un article sur le « SMART POWER ‘ (le « pouvoir intelligent »), concept qui a largement inspiré les actions d’Hillary Clinton pendant quatre ans
Selon SUZANNE NOSSEL Le « SMART POWER » consiste à détruire les défenses idéologiques de l’adversaire en lui démontrant son extrême infériorité économique et militaire avant de le détruire physiquement si nécessaire. C’est une combinaison adaptée à chaque situation de HARD POWER (bombes, missiles …) et de SOFT POWER (la diplomatie classique..). Entre HARD et SOFT on trouve, on le sait, une gamme extrêmement variée de sanctions, pressions, assassinats ciblés …
Inutile de préciser que SUZANNE NOSSEL est une avocate de longue date d’une attaque préventive de l’Iran et un soutien de la politique sioniste, positions qu’elle a défendues dans ses divers emplois précédents au WALL STREET JOURNAL, chez HUMAN RIGHTS WATCH à la FONDATION BERTELSMANN et chez MAC KINSEY.
Source : COMAGUER
Entre Hollywood et Disneyland, la propagande étasunienne vend du rêve aux enfants.
La dernière trouvaille de l’appareil idéologique de l’empire est d’utiliser le conte de JONATHAN SWIFT pour mobiliser l’opinion publique « humanitaire, bien pensante … » et particulièrement de gauche contre le régime syrien.
Bachar el Assad, le GULLIVER qui hante les insomnies de Laurent Fabius et de quelques autres, est tombé au sol ligoté par de braves lilliputiens qui bien entendu n’ont pas reçu un sou d’un donateur extérieur et ne sont armés que de pelles de pioches et de bonnes intentions.
A ceux qui s’étonneront de l’infantilisme de telles campagnes il convient de rappeler que la dirigeante actuelle d’AMNESTY INTERNATIONAL , si elle a pu garder des bons souvenirs de ses lectures enfantines, n’est pas une innocente en politique
SUZANNE NOSSEL, à la tête d’AMNESTY INTERNATIONAL depuis Janvier 2012, était employé auparavant par le Département d’Etat qu’elle représentait à Genève au Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU. Diplômée de Harvard elle s’est fait connaitre en publiant en 2004 dans la revue FOREIGN AFFAIRS un article sur le « SMART POWER ‘ (le « pouvoir intelligent »), concept qui a largement inspiré les actions d’Hillary Clinton pendant quatre ans
Selon SUZANNE NOSSEL Le « SMART POWER » consiste à détruire les défenses idéologiques de l’adversaire en lui démontrant son extrême infériorité économique et militaire avant de le détruire physiquement si nécessaire. C’est une combinaison adaptée à chaque situation de HARD POWER (bombes, missiles …) et de SOFT POWER (la diplomatie classique..). Entre HARD et SOFT on trouve, on le sait, une gamme extrêmement variée de sanctions, pressions, assassinats ciblés …
Inutile de préciser que SUZANNE NOSSEL est une avocate de longue date d’une attaque préventive de l’Iran et un soutien de la politique sioniste, positions qu’elle a défendues dans ses divers emplois précédents au WALL STREET JOURNAL, chez HUMAN RIGHTS WATCH à la FONDATION BERTELSMANN et chez MAC KINSEY.
Source : COMAGUER
Entre Hollywood et Disneyland, la propagande étasunienne vend du rêve aux enfants.
La dernière trouvaille de l’appareil idéologique de l’empire est d’utiliser le conte de JONATHAN SWIFT pour mobiliser l’opinion publique « humanitaire, bien pensante … » et particulièrement de gauche contre le régime syrien.
Bachar el Assad, le GULLIVER qui hante les insomnies de Laurent Fabius et de quelques autres, est tombé au sol ligoté par de braves lilliputiens qui bien entendu n’ont pas reçu un sou d’un donateur extérieur et ne sont armés que de pelles de pioches et de bonnes intentions.
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Inutile de préciser que SUZANNE NOSSEL est une avocate de longue date d’une attaque préventive de l’Iran et un soutien de la politique sioniste, positions qu’elle a défendues dans ses divers emplois précédents au WALL STREET JOURNAL, chez HUMAN RIGHTS WATCH à la FONDATION BERTELSMANN et chez MAC KINSEY.
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Bachar el Assad, le GULLIVER qui hante les insomnies de Laurent Fabius et de quelques autres, est tombé au sol ligoté par de braves lilliputiens qui bien entendu n’ont pas reçu un sou d’un donateur extérieur et ne sont armés que de pelles de pioches et de bonnes intentions.
A ceux qui s’étonneront de l’infantilisme de telles campagnes il convient de rappeler que la dirigeante actuelle d’AMNESTY INTERNATIONAL , si elle a pu garder des bons souvenirs de ses lectures enfantines, n’est pas une innocente en politique
SUZANNE NOSSEL, à la tête d’AMNESTY INTERNATIONAL depuis Janvier 2012, était employé auparavant par le Département d’Etat qu’elle représentait à Genève au Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU. Diplômée de Harvard elle s’est fait connaitre en publiant en 2004 dans la revue FOREIGN AFFAIRS un article sur le « SMART POWER ‘ (le « pouvoir intelligent »), concept qui a largement inspiré les actions d’Hillary Clinton pendant quatre ans
Selon SUZANNE NOSSEL Le « SMART POWER » consiste à détruire les défenses idéologiques de l’adversaire en lui démontrant son extrême infériorité économique et militaire avant de le détruire physiquement si nécessaire. C’est une combinaison adaptée à chaque situation de HARD POWER (bombes, missiles …) et de SOFT POWER (la diplomatie classique..). Entre HARD et SOFT on trouve, on le sait, une gamme extrêmement variée de sanctions, pressions, assassinats ciblés …
Inutile de préciser que SUZANNE NOSSEL est une avocate de longue date d’une attaque préventive de l’Iran et un soutien de la politique sioniste, positions qu’elle a défendues dans ses divers emplois précédents au WALL STREET JOURNAL, chez HUMAN RIGHTS WATCH à la FONDATION BERTELSMANN et chez MAC KINSEY.
Source : COMAGUER
Entre Hollywood et Disneyland, la propagande étasunienne vend du rêve aux enfants.
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Bachar el Assad, le GULLIVER qui hante les insomnies de Laurent Fabius et de quelques autres, est tombé au sol ligoté par de braves lilliputiens qui bien entendu n’ont pas reçu un sou d’un donateur extérieur et ne sont armés que de pelles de pioches et de bonnes intentions.
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SUZANNE NOSSEL, à la tête d’AMNESTY INTERNATIONAL depuis Janvier 2012, était employé auparavant par le Département d’Etat qu’elle représentait à Genève au Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU. Diplômée de Harvard elle s’est fait connaitre en publiant en 2004 dans la revue FOREIGN AFFAIRS un article sur le « SMART POWER ‘ (le « pouvoir intelligent »), concept qui a largement inspiré les actions d’Hillary Clinton pendant quatre ans
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Inutile de préciser que SUZANNE NOSSEL est une avocate de longue date d’une attaque préventive de l’Iran et un soutien de la politique sioniste, positions qu’elle a défendues dans ses divers emplois précédents au WALL STREET JOURNAL, chez HUMAN RIGHTS WATCH à la FONDATION BERTELSMANN et chez MAC KINSEY.
Source : COMAGUER
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Bachar el Assad, le GULLIVER qui hante les insomnies de Laurent Fabius et de quelques autres, est tombé au sol ligoté par de braves lilliputiens qui bien entendu n’ont pas reçu un sou d’un donateur extérieur et ne sont armés que de pelles de pioches et de bonnes intentions.
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SUZANNE NOSSEL, à la tête d’AMNESTY INTERNATIONAL depuis Janvier 2012, était employé auparavant par le Département d’Etat qu’elle représentait à Genève au Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU. Diplômée de Harvard elle s’est fait connaitre en publiant en 2004 dans la revue FOREIGN AFFAIRS un article sur le « SMART POWER ‘ (le « pouvoir intelligent »), concept qui a largement inspiré les actions d’Hillary Clinton pendant quatre ans
Selon SUZANNE NOSSEL Le « SMART POWER » consiste à détruire les défenses idéologiques de l’adversaire en lui démontrant son extrême infériorité économique et militaire avant de le détruire physiquement si nécessaire. C’est une combinaison adaptée à chaque situation de HARD POWER (bombes, missiles …) et de SOFT POWER (la diplomatie classique..). Entre HARD et SOFT on trouve, on le sait, une gamme extrêmement variée de sanctions, pressions, assassinats ciblés …
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SUZANNE NOSSEL, à la tête d’AMNESTY INTERNATIONAL depuis Janvier 2012, était employé auparavant par le Département d’Etat qu’elle représentait à Genève au Conseil des Droits de l’Homme de l’ONU. Diplômée de Harvard elle s’est fait connaitre en publiant en 2004 dans la revue FOREIGN AFFAIRS un article sur le « SMART POWER ‘ (le « pouvoir intelligent »), concept qui a largement inspiré les actions d’Hillary Clinton pendant quatre ans
Selon SUZANNE NOSSEL Le « SMART POWER » consiste à détruire les défenses idéologiques de l’adversaire en lui démontrant son extrême infériorité économique et militaire avant de le détruire physiquement si nécessaire. C’est une combinaison adaptée à chaque situation de HARD POWER (bombes, missiles …) et de SOFT POWER (la diplomatie classique..). Entre HARD et SOFT on trouve, on le sait, une gamme extrêmement variée de sanctions, pressions, assassinats ciblés …
Inutile de préciser que SUZANNE NOSSEL est une avocate de longue date d’une attaque préventive de l’Iran et un soutien de la politique sioniste, positions qu’elle a défendues dans ses divers emplois précédents au WALL STREET JOURNAL, chez HUMAN RIGHTS WATCH à la FONDATION BERTELSMANN et chez MAC KINSEY.
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