Le Vrai Sarkozy (vidéo)

Dires, contre-dires, et énergie indomptable...

Nicolas Sarkozy (de son nom usuel Nicolas, Paul, Stéphane Sarkozy de Nagy-Bocsa), né le 28 janvier 1955 dans le XVIIe arrondissement de Paris, est un homme politique français. Il est président de l'Union pour un mouvement populaire (UMP), ministre d'État, ministre de l'Intérieur et de l'Aménagement du territoire, président du conseil général des Hauts-de-Seine, conseiller municipal de Neuilly-sur-Seine, dont il a été le maire de 1983 à 2002. Nicolas Sarkozy est candidat à l'élection présidentielle de 2007, soutenu officiellement par l'UMP. Il est surnommé « Sarko » par ses partisans comme par ses adversaires.

Le Vrai Sarkozy
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A part ça, dans peoplestars.com , Nicolas Sarkozy a dénoncé mardi soir le "front commun des haines" que cherchent, selon lui, à constituer la gauche et l'extrême-gauche contre sa personne, à l'approche du second tour de l'élection présidentielle. 

"La vraie question, ce n'est pas à quoi ils veulent s'opposer mais à qui", a lancé le candidat de l'UMP devant plus de 8.000 personnes réunies au Zénith du Grand-Quevilly, fief de l'ancien Premier ministre socialiste Laurent Fabius, près de Rouen."Le Parti socialiste rêve d'un front qui serait constitué non contre mes idées, non contre notre projet, non contre mes convictions, non contre mes propositions, mais uniquement contre ma personne", a-t-il poursuivi.Le "seul projet" de la gauche et de sa candidate Ségolène Royal, "c'est la diabolisation", a accusé l'ancien ministre de l'Intérieur, qui a accusé les socialistes d'éviter ainsi d'avoir à défendre leurs idées et leurs propositions."On constitue ainsi le front commun des haines, des intolérances et du sectarisme", a lancé le candidat de l'UMP. "Ce front commun-là, la France n'en a pas besoin."

Commentaire:

On a tellement constaté que ses promesses et ses paroles se contredisaient, et contredisaient ses actes, que la question du "quoi" (ce qu'il promet) ne peut même plus RAISONNABLEMENT se poser: il réussit de moins en moins souvent à faire prendre des vessies pour des lanternes! Ses  évitements, sous des prétextes fallacieux,  d'entretiens avec les autres candidats avant le premier tour, puis avec Bayrou après le 1er tour,  ainsi que son intervention pour EMPÊCHER une rencontre Royal Bayrou (ce lien n'est valide que pour les abonnés du Monde électronique) par prend là un relief particulièrement accentué et significatif... Il faut - vite, il reste à peine un peu plus d'une semaine - le contraindre à rencontrer ses contradicteurs, à débattre "Projet contre projet".

Il aura, le 2 Mai,  l'unique débat contradictoire qu'il aura consenti à affronter, puisqu'il s'est arrangé pour éluder tous les autres (invitations de S. Royal, de F. Bayrou..)... Je suis convaincue, pour ma part, qu'il "y a le feu au lac" si cela se déroule selon ses prévisions: connaissant ses méthodes, comme nous les connaissons. se pourrait il qu'il prépare "un coup" le 2 mai?

NB: Citation de l'article du Monde pour rappel, à propos de la tentative d'empêchement de la rencontre Royal-Bayrou: (...)"Il n'y aura pas de débat Bayrou-Royal. C'est M^me Royal qui est invitée", a annoncé jeudi matin un porte-parole du SPQR à l'AFP, expliquant que Nicolas Sarkozy et la candidate socialiste doivent se succéder vendredi, dans le cadre d'un "forum exclusif pour les journalistes et les rédacteurs en chef de la PQR". Ségolène Royal a alors réagi rapidement, estimant que "ce n'est pas le président de la PQR – qui, paraît-il, a été reçu ce matin par Nicolas Sarkozy – qui va empêcher le moindre débat". "On trouvera d'autres solutions. Ce n'est pas un problème. En France, la presse est libre, sauf lorsqu'elle subit quelques pressions, ce qui est tout à fait dommageable".(...)