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1 avril 2009

Georges Frêche: relaxe

Georges Frêche:  « Ça m'a fait de la peine »

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"Harkis sous-hommes" : Georges Frêche relaxé par la cour de cassationLa saga du Bar Live

Avec satisfaction et soulagement, Georges Frêche, président du conseil régional, a pris connaissance de sa relaxe par la Cour de cassation. « Ces trois années de procédure m'ont fait beaucoup de mal. Cela m'a peiné. Par moment, ça m'a même rendu malade. Mais je n'ai pas pleuré car je suis plus costaud que ça », a-t-il indiqué.

Malheureux pourquoi ? « Comment croire que je puisse être raciste après quarante ans de militantisme antiraciste. Je me suis toujours battu en faveur d'Israël, des musulmans. Dans cette affaire, j'ai insulté deux personnes à titre privé. Je n'ai jamais mis en cause les harkis en général », s'exclame l'élu, estimant qu'il y a deux justices en France : la justice officielle et celle des médias. « J'ai toujours eu confiance dans la justice de mon pays.

Je ne l'ai jamais attaquée. Aujourd'hui, elle m'absout, ce dont j'ai toujours été convaincu. »

Georges Frêche tient à saluer le comportement des militants socialistes de la région : « J'ai reçu des centaines de témoignages d'amitié lors de cette affaire que je juge complètement inique. » En revanche, il ne se prive pas de stigmatiser l'attitude de responsables socialistes : « Laurent Fabius et Harlem Désir, pour ne citer qu'eux, ont fait des déclarations infamantes à mon égard. Cela se retourne contre eux. Ils devraient s'excuser. On m'a fabriqué une image de raciste dans toute la France. Sérieusement, ces gens ne peuvent envisager de gouverner le pays. »

Frêche n'a vraiment pas digéré d'être mis au pilori : « Le Parti socialiste n'a passupporté que je sois un électron libre. Cette affaire a constitué un prétexte pour se débarrasser de moi. » Le président "divers gauche" n'estime pas que Ségolène Royal ait fait de « déclarations infamantes » lors de cet épisode. Il la voit toujours en mesure de faire gagner la gauche lors des présidentielles, au même titre que Dominique Strauss-Khan, qu'il doit prochainement rencontrer à New York. « La désignation se jouera entre eux deux » , commente Frêche, revenant une dernière fois sur sa relaxe : « Cela me fait plaisir pour mon père qui fut un grand résistant. »



Anthony JONES

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Commentaires
D
sont pères doit se retourne dans sa tombe il nous fait croire que s'est lui la victime li n 'est que relaxe il n'est pas équité il et raciste il a qu'a donne la cassette sur les blacks les femme tondu le papes exct sont pères résistant n 'est lui s'est le roi des con et des raciste
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